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La ville britannique de Sandwich (sud-est de l'Angleterre) a célébré dimanche les 250 ans de la naissance du fameux en-cas, créé selon la légende par le comte de Sandwich.
Des acteurs en costumes du XVIIIe siècle ont mis en scène la soirée légendaire au cours de laquelle le comte John Montagu, un joueur invétéré, réclama une tranche de boeuf entre deux tranches de pain grillé afin de pouvoir continuer à jouer sans s'interrompre, selon le site internet de l'événement.
La légende raconte qu'autour de lui, les convives réclamèrent "la même chose que Sandwich", lançant le mets pour la postérité.
Un concours du meilleur sandwich et des concerts de musique de l'époque en l'honneur du comte, également connu pour avoir eu "un penchant pour les vêtements à la turque", sont aussi au programme. Des sandwichs-baguettes de la ville jumelée de Honfleur, en France, seront aussi proposés à la dégustation.
L'actuel comte de Sandwich organise évidemment un déjeuner géant... à base de sandwichs en hommage à son ancêtre.
Les historiens restent sceptiques sur l'origine du sandwich, qui remonte selon eux beaucoup plus loin que le XVIIIe siècle, ce qui n'a pas empêché la cité de célébrer son héros local.
Bâillements
L’expérience réalisée par les éthologues de l'Université de Porto est simple : à 29 chiens pris individuellement et ayant vécu au moins 6 mois avec une même personne, on a diffusé, à raison de 2 séances par semaine, des bâillements enregistrés produits par leur maître, par des familiers, par des étrangers, ainsi que les mêmes sons diffusés en marche arrière. Le nombre de fois où l’animal bâillait à son tour en réponse à ces stimuli sonores a alors été comptabilisé.
Résultats : si une précédente étude britannique avait montré que près de 75% des chiens testés bâillent après avoir vu un humain le faire (stimuli visuel), celle-ci montre que le taux tombe à 50% lorsque l’expérience est sonore (stimuli auditif). Mais aussi qu’une réponse positive (un bâillement) est 5 fois plus probable lorsque le son entendu provient du maître que lorsqu’il provient d’un étranger.
"Les chiens ont bâillé d’avantage quand ils ont entendu bâiller l'homme qu'ils connaissaient, comme leur propriétaire, par opposition à des gens qu'ils ne connaissent pas, et la possibilité que les chiens pourraient avoir une certaine empathie avec les humains s’est imposée", conclut Joana Bessa, de l’Institut des sciences biomédicales de l’Université de Porto, membre de l’équipe de recherche citée par Science Daily.