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«Nous devons admettre qu’en dépit d’un retour globalement positif de nos visiteurs et des médias, l’intérêt pour les Beatles dans la métropole dont John Lennon disait qu’il y avait grandi n’est pas à la hauteur de nos espérances», a-t-il ajouté. Le musée, qui expose un millier de reliques de la carrière des Beatles, avait organisé plusieurs expositions sur le thème de la communauté des fans dans l’Union soviétique ainsi que des concerts et des événements. Depuis son ouverture, le musée a enregistré 150.000 entrées qui n’ont pas permis de couvrir ses coûts de fonctionnement, sans l’intervention de la municipalité.
La cité portuaire avait hébergé les jeunes Beatles dans le quartier de St Pauli près du quartier chaud de la Reeperbahn, longtemps avant qu’ils ne deviennent des stars mondiales.
Les quatre garçons de Liverpool dont la formation ne portait pas encore de nom, avaient fait leur première apparition publique le 17 août 1960 au Indra Club, un lieu miteux de la cité hanséatique. A l’ouverture du musée, Paul McCartney avait donné à Hambourg un concert à guichets fermés, rappelant à la presse allemande que Hambourg était la ville où le groupe avait fait ses armes, jouant chaque nuit pendant plus de deux ans. «Cette ville nous a ouvert les yeux», avait-il déclaré au quotidien Frankfurter Rundschau. «Nous sommes venus ici comme des enfants et nous sommes revenus comme de vieux enfants. Sur la Reeperbahn, nous avons eu droit très vite à notre baptême du feu quand il s’agissait du sexe. C’était comme si on nous avait enlevé nos laisses. C’était une folle époque.»