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Pour la première fois, les deux rivaux sont entrés sur le terrain en même temps cette semaine, alors que Fifa devançait jusqu'alors l'arrivée de son adversaire chez les revendeurs.
"Il y a toujours eu cette légende urbaine qui disait que les gens achetaient Fifa pour attendre PES. Cette année, les joueurs ont un vrai dilemme et doivent choisir tout de suite entre les deux", souligne auprès de l'AFP Nicolas Dyan, chef de produit Pro Evolution Soccer à Konami France.
L'enjeu est important pour l'éditeur japonais: sa production a longtemps été considérée comme la référence, mais l'arrivée de la nouvelle génération de consoles a rebattu les cartes.
Plus beau, plus accessible tout en étant plus réaliste, Fifa a réussi sa mue depuis trois ans, même si son concurrent jouit toujours d'une belle cote auprès de ses fans de la première heure.
Au niveau du contenu, le jeu de l'éditeur américain a l'avantage et offre plus de clubs, plus de sélections nationales et les vrais noms de tous les joueurs.
De même, il permet de réellement différencier les personnages à l'écran, le style tout en puissance de l'Ivoirien Didier Drogba contrastant avec la virtuosité de l'Argentin Lionel Messi.
Quant à l'ambiance dans le stade, les chants les plus connus sont de la partie, aussi bien dans Fifa 11 que dans PES 2011, et donnent presque l'impression de se trouver dans une vraie enceinte sportive.
Manette en main, les deux titres obligent à construire patiemment les actions: les passes doivent être parfaitement dosées et orientées par arriver jusqu'à leur destinataire. Les différencier est donc surtout une question de goût.