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Le premier Festival international du film archéologique et patrimonial se tiendra du 23 au 26 avril prochain à Rabat, à l'initiative du Centre d'études et de recherches du patrimoine archéologique et anthropologique du Moyen Atlas (CERPAAM), sous le thème "Afrique du Nord : une réécriture de l'Histoire humaine".
Cet événement, organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et de la Wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, a bénéficié de la collaboration du Festival du film d'archéologie d'Amiens, créé en 1990, s'inscrivant ainsi dans les politiques actuelles de coopération culturelle franco-marocaine, indique un communiqué des organisateurs.
Le festival sera le premier rendez-vous des professionnels du cinéma documentaire, d'archéologie et du patrimoine en Afrique et dans le monde arabe. Il rejoindra le réseau d'autres festivals similaires comme Amiens, Narbonne et Pech Merle (France), Oiasso (Espagne), Rovereto, Florence et Licodia Eubea (Italie), Athènes (Grèce), Nyon (Suisse), Split (Croatie) et Arkhaios (Etats-Unis).
Cette première édition, qui sera l'occasion de promouvoir et de valoriser le patrimoine culturel marocain, proposera une programmation riche et diversifiée à travers la projection de trente films documentaires, dont dix-huit en compétition, alors qu'un voyage archéologique visuel et sonore emportera le public à travers le temps aux quatre coins du monde à la recherche de nos ancêtres les plus lointains, relève-t-on.
La participation de la plupart des réalisateurs de documentaires ainsi que d'archéologues et d'historiens permettra à un large public de découvrir et de débattre de différents sujets liés au patrimoine et à l'archéologie.
Principalement axé sur le bassin méditerranéen et la préhistoire, le festival sera inauguré par un documentaire mettant en lumière la découverte très médiatisée des plus vieux Homo sapiens, datant de plus de 315.000 ans, à Jbel Irhoud.
Le dynamisme de l'archéologie marocaine s'est manifesté par l'identification d'un site préhistorique de production de céréales à la fin du Néolithique (Oued Beht) et, plus récemment, par la mise au jour du premier village protohistorique connu du Maghreb (Kach Kouch, dans la province de Tétouan), notent les organisateurs du festival, expliquant que cette dernière découverte remet en question les idées reçues sur le développement des sociétés nord-africaines avant l'arrivée des Phéniciens.
Cet événement, organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et de la Wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra, a bénéficié de la collaboration du Festival du film d'archéologie d'Amiens, créé en 1990, s'inscrivant ainsi dans les politiques actuelles de coopération culturelle franco-marocaine, indique un communiqué des organisateurs.
Le festival sera le premier rendez-vous des professionnels du cinéma documentaire, d'archéologie et du patrimoine en Afrique et dans le monde arabe. Il rejoindra le réseau d'autres festivals similaires comme Amiens, Narbonne et Pech Merle (France), Oiasso (Espagne), Rovereto, Florence et Licodia Eubea (Italie), Athènes (Grèce), Nyon (Suisse), Split (Croatie) et Arkhaios (Etats-Unis).
Cette première édition, qui sera l'occasion de promouvoir et de valoriser le patrimoine culturel marocain, proposera une programmation riche et diversifiée à travers la projection de trente films documentaires, dont dix-huit en compétition, alors qu'un voyage archéologique visuel et sonore emportera le public à travers le temps aux quatre coins du monde à la recherche de nos ancêtres les plus lointains, relève-t-on.
La participation de la plupart des réalisateurs de documentaires ainsi que d'archéologues et d'historiens permettra à un large public de découvrir et de débattre de différents sujets liés au patrimoine et à l'archéologie.
Principalement axé sur le bassin méditerranéen et la préhistoire, le festival sera inauguré par un documentaire mettant en lumière la découverte très médiatisée des plus vieux Homo sapiens, datant de plus de 315.000 ans, à Jbel Irhoud.
Le dynamisme de l'archéologie marocaine s'est manifesté par l'identification d'un site préhistorique de production de céréales à la fin du Néolithique (Oued Beht) et, plus récemment, par la mise au jour du premier village protohistorique connu du Maghreb (Kach Kouch, dans la province de Tétouan), notent les organisateurs du festival, expliquant que cette dernière découverte remet en question les idées reçues sur le développement des sociétés nord-africaines avant l'arrivée des Phéniciens.
Bouillon de la culture
Vernissage
Le vernissage d'une exposition de l’artiste-peintre espagnol Mariano Bertuchi, intitulée "Mariano Bertuchi, images du Maroc (1903-1927)", aura lieu, le 8 avril à l'Institut Cervantès de Tétouan.
Cette exposition, organisée par Casa Mediterraneo (Maison de la Méditerranée), en partenariat avec l'Institut français du Maroc et l'Institut national des beaux arts (INBA) de Tétouan, en commémoration du 70è anniversaire de la disparition de l'artiste, sera l’occasion pour le public de redécouvrir l'œuvre picturale de Bertuchi.
Elle offre également l'opportunité d’explorer des œuvres peu connues de Mariano Bertuchi, dont 8 toiles de la collection de l'Académie royale des beaux-arts de San Fernando (1903-1908).
Conférence
Le Centre culturel Iklyle de Tétouan organise, le 20 mars, une conférence culturelle sous le thème "Le théâtre et les espaces d'exposition". Cette rencontre sera animée par l'association "Atelier Al Feddane pour le théâtre et l'animation culturelle" de Tétouan.
Film
Le ciné-club virtuel "Rendez-vous avec le cinéma" de l'Institut Cervantès consacre sa deuxième séance au documentaire "Bidasoa, 2018-2023" réalisé par le chanteur et producteur Fermín Muguruza.
Le film raconte l'histoire poignante cachée dans la rivière Bidassoa, un témoignage douloureux des voix endormies des migrants qui ont essayé de trouver une vie digne ailleurs et n'y sont pas parvenus, indique l'Institut Cervantès de Tétouan.
Le vernissage d'une exposition de l’artiste-peintre espagnol Mariano Bertuchi, intitulée "Mariano Bertuchi, images du Maroc (1903-1927)", aura lieu, le 8 avril à l'Institut Cervantès de Tétouan.
Cette exposition, organisée par Casa Mediterraneo (Maison de la Méditerranée), en partenariat avec l'Institut français du Maroc et l'Institut national des beaux arts (INBA) de Tétouan, en commémoration du 70è anniversaire de la disparition de l'artiste, sera l’occasion pour le public de redécouvrir l'œuvre picturale de Bertuchi.
Elle offre également l'opportunité d’explorer des œuvres peu connues de Mariano Bertuchi, dont 8 toiles de la collection de l'Académie royale des beaux-arts de San Fernando (1903-1908).
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Film
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Le film raconte l'histoire poignante cachée dans la rivière Bidassoa, un témoignage douloureux des voix endormies des migrants qui ont essayé de trouver une vie digne ailleurs et n'y sont pas parvenus, indique l'Institut Cervantès de Tétouan.