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![Trois questions à Ali Elyazghi, SG de la Jeunesse Ittihadie : “Le parti doit retrouver sa position de leader” Trois questions à Ali Elyazghi, SG de la Jeunesse Ittihadie : “Le parti doit retrouver sa position de leader”](https://www.libe.ma/photo/art/default/2207047-3077994.jpg?v=1289555920)
Ali Elyazghi, secrétaire général de la Jeunesse USFP, estime
que le Colloque
ittihadi sur
l’organisation constitue
l’occasion d’un nouveau départ pour le parti afin de reconquérir
sa place
de leader dans
la vie
politique
nationale.
Libé : Quel bilan faites-vous du Colloque national sur l’organisation de l’USFP?
Ali Elyazghi : L’organisation de ce Colloque constitue, à n’en pas douter, une étape historique du parcours de l’USFP. Aujourd’hui, il y a un constat selon lequel l’organisation du parti connaît plusieurs maux. Ce colloque présente l’occasion d’une réflexion collective et d’une mobilisation de toutes les forces vives du parti afin de lui redonner un nouveau souffle, lequel devrait passer par des changements radicaux dans notre façon de gérer les différences et les ambitions personnelles et collectives.
L’une des propositions clés de ce Colloque a concerné le scrutin de liste, au lieu du scrutin uninominal, dans le mode d’élection des instances dirigeantes du parti. Qu’en pensez-vous ?
La proposition phare de ce Colloque a en effet été le choix du scrutin de liste qui permettra de gérer nos différences tout en renforçant notre unité.
En même temps, il y a l’espoir que, aujourd’hui, il faut clarifier les règles du jeu et être très ferme quant au respect de ces règles. Le système de liste permet de donner une certaine liberté du point de vue gestion du parti tout en gardant une ligne politique commune.
Etes-vous pour ou contre l’existence de courants au sein de l’USFP ?
Je trouve qu’il est encore prématuré de soulever cette question aujourd’hui. En tous les cas, en ce qui nous concerne, la Jeunesse ittihadie a toujours bénéficié d’une autonomie de pensée et de gestion. Dans tous les cas de figure, ce dont on a vraiment besoin, c’est d’un nouveau départ pour notre parti avec des objectifs communs clairs et une conviction commune précise. L’USFP doit être capable de retrouver la place qui a souvent été la sienne, c’est-à-dire au devant de la scène et aux premières lignes de la vie politique au Maroc.
que le Colloque
ittihadi sur
l’organisation constitue
l’occasion d’un nouveau départ pour le parti afin de reconquérir
sa place
de leader dans
la vie
politique
nationale.
Libé : Quel bilan faites-vous du Colloque national sur l’organisation de l’USFP?
Ali Elyazghi : L’organisation de ce Colloque constitue, à n’en pas douter, une étape historique du parcours de l’USFP. Aujourd’hui, il y a un constat selon lequel l’organisation du parti connaît plusieurs maux. Ce colloque présente l’occasion d’une réflexion collective et d’une mobilisation de toutes les forces vives du parti afin de lui redonner un nouveau souffle, lequel devrait passer par des changements radicaux dans notre façon de gérer les différences et les ambitions personnelles et collectives.
L’une des propositions clés de ce Colloque a concerné le scrutin de liste, au lieu du scrutin uninominal, dans le mode d’élection des instances dirigeantes du parti. Qu’en pensez-vous ?
La proposition phare de ce Colloque a en effet été le choix du scrutin de liste qui permettra de gérer nos différences tout en renforçant notre unité.
En même temps, il y a l’espoir que, aujourd’hui, il faut clarifier les règles du jeu et être très ferme quant au respect de ces règles. Le système de liste permet de donner une certaine liberté du point de vue gestion du parti tout en gardant une ligne politique commune.
Etes-vous pour ou contre l’existence de courants au sein de l’USFP ?
Je trouve qu’il est encore prématuré de soulever cette question aujourd’hui. En tous les cas, en ce qui nous concerne, la Jeunesse ittihadie a toujours bénéficié d’une autonomie de pensée et de gestion. Dans tous les cas de figure, ce dont on a vraiment besoin, c’est d’un nouveau départ pour notre parti avec des objectifs communs clairs et une conviction commune précise. L’USFP doit être capable de retrouver la place qui a souvent été la sienne, c’est-à-dire au devant de la scène et aux premières lignes de la vie politique au Maroc.