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Célébration à Tanger du centenaire de l’adoption de la législation régissant la profession d’avocat au Maroc
Ce troupeau estimé à 75 têtes, selon le propriétaire et 44 têtes, selon la circonscription des douanes, soulève plus d’une interrogation.
- Le Mur de sécurité perméable à plusieurs trafics, garantit-il réellement la sécurité pour laquelle il a été érigé ?
-Les conventions maroco- mauritaniennes de libre-circulation des hommes et des biens, ne justifient-elles pas les revendications et les protestations de l’homme d’affaires mauritanien qui estime que ses dromadaires doivent lui être tout simplement rendus ?
Les camélidés saisis par les services des douanes ont été bradés, selon le propriétaire, pour s’en débarrasser tout simplement, étant donné qu’ils ont été vendus de gré à gré. Ce que réfute le directeur régional des douanes. Ce dernier estime que, selon les recommandations des services vétérinaires de l’agriculture, ces dromadaires risquaient d’être porteurs d’épidémies et qu’il fallait donc les abattre sans tarder.
Pour ce qui est du prix de cession, il pense que le commerce de chameaux n’est pas son métier et que son but était de vendre le plus rapidement possible, conformément aux recommandations du vétérinaire. En attendant le Maghreb des peuples, les propriétaires de dromadaires des deux frontières ont intérêt à recruter des bergers pour surveiller leurs bétails.