-
La cocaïne "pas plus mauvaise que le whisky", affirme le président colombien
-
Le mois de janvier 2025 le plus chaud jamais mesuré dans le monde
-
Un homme suspecté d'avoir volé l'équivalent de 210 millions d'euros de cryptomonnaies incarcéré à Paris
-
L'aspartame dans le collimateur de Foodwatch et de la Ligue contre le cancer
-
Le patron d'OpenAI noue un partenariat avec le géant sud-coréen Kakao après le séisme DeepSeek
Au fil des années et des films, le réalisateur Tim Burton a pris de l'assurance avec la presse. C'est donc tout détendu qu'il a parlé à 20 Minutes de ce film qui lui tient particulièrement à coeur.
Pourquoi avoir choisi de réaliser une version longue de Frankenweenie?
Ce moyen métrage que j'ai signé en 1984 et que les studios Disney trouvaient trop sombre à l'époque m'est demeuré très cher. Il faut croire que les producteurs se sont habitués à moi, car on m'a dit oui tout de suite.
Même pour le noir et blanc?
Oui. Je crois que le succès de L'Etrange Noël de Monsieur Jack et des Noces funèbres ne sont pas pour rien dans cet accord. Le public aime me voir jouer avec des marionnettes, peut-être parce que je suis resté un grand enfant.
Il s'agit de votre type d'animation favori?
Effectivement, je crois que ce procédé permet de jouer à fond sur la profondeur de champ, notamment en relief. Je ne me voyais pas refaire le film en prises de vues réelles.
Pensez-vous que le sujet est approprié pour les enfants?
Bien sûr, c'est une belle histoire d'amitié entre un enfant et un chien. Cela m'amuse de voir que des parents qui ont adoré avoir peur quand ils étaient gamins craignent toujours que leurs bambins soient traumatisés au cinéma.
Les films ne vous ont jamais fait peur?
Dès mon plus jeune âge, j'ai aimé les monstres de cinéma. C'est la vraie vie qui est effrayante, pas l'imaginaire.