-
En Tunisie, une barge-hôpital pour remettre en forme des espèces de tortues protégées
-
"Une autoroute pour cyclistes": Sur la Costa Blanca, dans la fourmilière du peloton pro
-
Un mégaprojet d'hydrogène vert menace l'observation du ciel dans le désert d'Atacama
-
Au salon CES, la bataille des lunettes connectées fait rage
-
Agent révoqué pour avoir reçu une tronçonneuse en pot-de-vin
Toutefois, le docteur David Brenner travaillant dans cette même université insiste sur le fait que le risque sanitaire sur la plupart des individus est très faible. Cependant, une minorité de personnes pourrait se montrer plus sensible à l'irradiation, et avec 800 millions de personnes voyageant en avion chaque année, "une minorité" représente un très grand nombre d'individus. Une augmentation du risque de cancer de la peau n'est pas à écarter, notamment de carcinome basocellulaire, un cancer bénin mais qui peut laisser de sévères séquelles au visage. Le docteur Brenner exige donc que des recherches plus approfondies soient menées. Selon lui, il serait plus prudent de ne pas scanner le visage ainsi que le cou des voyageurs, ces deux zones représentant les lieux d'apparition du carcinome basocellulaire.