Bien sûr la responsabilité précise du tabagisme passif est toujours délicate à apprécier. Il n'empêche, le Centre international de Recherche sur le cancer (CIRC) de l'OMS à Lyon, le fait figurer depuis 2005, parmi les substances cancérogènes pour l'homme.
Outre le risque de décès, le tabagisme passif augmente également de 25% celui d'accidents coronariens. Retard de croissance in-utero, faible poids de naissance et mort subite du nourrisson, les conséquences peuvent également être dramatiques pour l'enfant à naître ou le jeune enfant. Sans oublier ensuite les risques d'infections respiratoires basses, d'otite et d'asthme chez l'enfant exposé par exemple, au tabagisme parental.