-
Un homme suspecté d'avoir volé l'équivalent de 210 millions d'euros de cryptomonnaies incarcéré à Paris
-
L'aspartame dans le collimateur de Foodwatch et de la Ligue contre le cancer
-
Le patron d'OpenAI noue un partenariat avec le géant sud-coréen Kakao après le séisme DeepSeek
-
Plus d'un cancer du poumon des non-fumeurs sur deux serait lié à la pollution
-
Le bitcoin plonge de 6%, l'ether dévisse de 26%, plombés par la guerre commerciale
Anne Roumanoff prend avec philosophie l'arrêt de son émission "Anne Roumanoff et les garçons", diffusée chaque soir juste avant le journal de 20 heures de France 2. "Il y a trois semaines, j'étais censée relancer l'access Prime-time de France 2. Et là, figurez-vous que je l'ai coulé à moi toute seule !", a ironisé l'humoriste lors de son show "Samedi Roumanoff", diffusé le week-end dernier sur Europe 1. "Je tiens à mettre les choses au point : on était payés par TF1 pour faire une émission nulle et des scores minables. C'était fait exprès !" Une plaisanterie qui a fait rire le public de l'émission et prouvé qu'Anne Roumanoff assume parfaitement son échec.
Une attitude partagée par ses chroniqueurs. Ainsi, Willy Rovelli a littéralement flingué sa patronne dans sa chronique hebdomadaire en mettant tous les maux du monde sur le dos d'"Anne Roumanoff et les garçons". Que ce soit l'hospitalisation de Loana, le départ en Belgique de Paul-Loup Sulitzer, la séparation entre Jean-Paul Belmondo et Barbara Gandolfi ou encore la situation au nord du Mali, pour Willy Rovelli, tout est de la faute d'"Anne Roumanoff et les garçons".
Une chronique hilarante à l'image de l'édito réalisé par Anne Roumanoff, qu'elle a conclu de la manière suivante : "A la télé, on te dit 'La case est à toi', après on te casse et après 'Casse-toi !'".