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Facebook, au contraire, se destine aux homards:
«Facebook est un piège à homards et vos amis en sont l'appât. Sur les réseaux sociaux nous sommes tous des homards, et les homards ont juste envie de s'amuser. Chaque fois qu'un ami partage un statut, un lien, un "like", un commentaire ou une photo, Facebook a plus d'appâts pour me faire revenir. [...] Facebook garde nos amis en otage, donc même si on peut s'éloigner de l'Hôtel Facebook quand on veut, on ne peut jamais vraiment en partir. Alors on traîne. Et on s'attarde. Et on profite. L'extrême totalement illogique du contenu comme appât est représenté par les jeux Facebook où le contenu est de la merde virtuelle. Les applications sociales sont des pièges à homard; les applications de Google n'appâtent pas les utilisateurs avec leurs amis.» «Ils ne sont juste pas très bons sur le social», estime l'ancien chef de produit de l'équivalent des Google labs chez Yahoo dans un article du magazine Fortune. «Google est très bon pour construire ces produits utilitaires –recherche, email, messages instantanés. Ils sont en quelque sorte la compagnie électrique de l'Internet. Mais il leur manque de sentir comment les gens partagent et collaborent». Pour Fortune, si Google arrive à changer sa philosophie très utilitaire, l'entreprise pourrait réussir à faire son trou dans le nouveau secteur en pleine croissance.