-
Ils pensent avoir découvert un astéroïde… c’était la voiture Tesla envoyée dans l’espace par Elon Musk
-
Radja Nainggolan privé de liberté pour trafic de drogue
-
Il refuse de vendre sa maison et se retrouve encerclé par une autoroute
-
« Une odeur de chair en décomposition »… L’Australie se passionne pour cette fleur rare et puante
-
« Frustré », il envoie aux gendarmes qui lui ont sucré son permis une carte postale depuis la Thaïlande
Les chercheurs se sont rendus compte également que les personnes possédant ce gène avaient besoin de dormir en moyenne huit heures par nuit. Une situation loin d'être isolée, puisque le gène qui prolonge la durée du sommeil serait présent chez un Européen sur 5, indique l'étude publiée dans la revue Molecular Psychiatry.
Pour les besoins de l'expérience, les 10 000 volontaires ont indiqué aux scientifiques le nombre d'heures exactes qu'ils dormaient par nuit, que ce soit la semaine ou le week-end. Ils devaient également préciser s'ils prenaient des somnifères. L'étude de ces comportements face au sommeil s'est accompagnée d'une prise de sang pour identifier le fameux gène ABCC9.
Les recherches ont également été conduites sur des mouches du vinaigre. Là aussi, le constat est sans ambiguïté : les drosophiles ayant le gène ABCC9 dorment 3 heures de plus que la normale.
Bien dormir, ça s'apprend
Si la génétique explique en partie pourquoi nous ne sommes pas égaux face au sommeil, certains éléments peuvent influer sur la durée et la qualité du sommeil comme une mauvaise alimentation, l'alcool, le stress…
Pour savoir si on est en manque de sommeil, c'est simple, il suffit d'écouter les signaux que nous envoie notre corps. Alors que plus d'un tiers des Français souffrent d'un trouble du sommeil, selon les chiffres de l'Institut national du sommeil et de la vigilance (2009), il est important de rappeler les règles élémentaires qui favorisent un meilleur sommeil.