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Ce bras de fer a atteint une telle ampleur que Mustapha Mansouri, le président contesté, mais contestant à son tour les procédés utilisés par Salaheddine Mezouar, celui-là même qui aspire à prendre les commandes du RNI, est tout déterminé à en référer à la justice. Dernier acte faisant monter la tension au sein de cette formation qui s’était pendant longtemps confondue avec son président-fondateur Ahmed Ousmane fait suite à l’annonce par Salaheddine Mezouar de la tenue, fin janvier, du Conseil national du parti. Le communiqué adressé au Bureau exécutif version Mezouar par une trentaine d’élus ou membres des instances dirigeantes du parti et dans lequel ils expriment leur soutien indéfectible aux démarches et actions décidées par ce dernier, et ce pour mettre un terme à la confusion qui règne depuis octobre.
Les signataires dudit communiqué appellent Mustapha Mansouri à respecter son engagement et l’accord passé et signé avec Mezouar par lequel il avait conféré à celui-ci la gestion organisationnelle et la préparation de la prochaine réunion du Bureau exécutif.
Favoriser la concrétisation du projet réformateur et moderniste du parti sous la direction de Saheddine Mezouar est l’unique voie salvatrice pour sauvegarder le parti et son avenir, ont indiqué « les réformateurs » signataires du communiqué.
L’autre son de cloche vient d’un tout autre communiqué émanant cette fois du Bureau exécutif du RNI signé par celui qui soutient que sur un plan légal, il ne peut y avoir d’autre président que lui. Mustapha Mansouri souligne ainsi qu’à l’issue de la réunion de « son » bureau exécutif, il a été décidé de la tenue d’une réunion du comité central, le 16 janvier 2010 à Rabat, à qui il reviendra d’arrêter une date pour le prochain Conseil national.
Parviendra-t-on à trouver un terrain d’entente ou bien ce sera à la justice de trancher ?