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77% des patients atteints d'un cancer déclarent en effet souffrir de fatigue. Une fatigue chronique, qui ne disparaît pas avec l'apport de sommeil. De plus, les patients trop fatigués ont tendance à être moins actifs et donc, à perdre de la masse musculaire pour ensuite se fatiguer encore plus vite.
Cette fatigue entraîne, selon l'AFP, une "perte de la concentration, [des] problèmes de relation avec les autres, [une] difficulté à gérer la vie quotidienne, [de l'] irritabilité, avec des retentissements sur le traitement, que l'on suit mal, avec retard, ou que l'on arrête".
L'étude, intitulée "Regards croisés", a porté sur 300 malades, 250 médecins et 109 infirmiers. Elle a révélé que 77% des patients souffraient de fatigue, mais aussi que 37% d'entre eux qualifiaient cette fatigue "d'intense ou de très intense". Pour 37% des patients interrogés, la fatigue est l'effet indésirable le plus gênant des traitements anti-cancer, devant la chute des cheveux (18%), les nausées et les vomissements (9%) et les douleurs (6%).