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Une étude publiée par le British Journal of Psychology a montré que les hommes étaient aptes à être de véritables gentlemen lorsqu’ils sont en présence de jolies femmes. Même si les femmes n’ont pas attendu cette recherche pour le comprendre, les hommes seraient plus facilement aimables envers des belles représentantes du sexe opposé.
65 hommes et 65 femmes ont donc été amenés à jouer à un jeu de donations. Chacun pouvait faire anonymement un don (informatique) à une organisation fictive et caritative, selon InsoliScience. Les participants, âgés pour la plupart de 21 ans, étaient observés par deux individus très séduisants : un homme et une femme. Il se trouve que les hommes faisaient beaucoup plus de bonnes actions quand ils étaient observés par la femme. Une seconde expérience, en groupe et en public, a confirmé la première observation à savoir que la présence d’une belle femme influençait l’image qu’ils donnaient d’eux, mais pour autant les enchères n’ont pas augmentées lorsque les participants étaient en concurrence. Le Docteur Iredale résume ainsi l’expérimentation : «La recherche montre que les bonnes actions chez les hommes augmentent quand on leur donne en même temps l’opportunité d’avoir des relations avec une femme. Théoriquement, cela suggère qu’une bonne action est l’équivalent humain de la queue du paon. Pratiquement, cette recherche montre comment les sociétés pourraient encourager les actes désintéressés».
Boule
Fumeur impénitent durant plusieurs années, Barry Chappell a voulu arrêter le tabac après la naissance de son fils. Et pour se sevrer, il a commencé à mâcher frénétiquement des nicorettes quand le manque de nicotine était trop pressant.
Mais son existence d’ex-fumeur a pris un tournant inattendu lors d’un vol pour l’Europe. Chappell avait mâchouillé une énième nicorette, seulement une fois installé dans l’avion, il n’a pas trouvé de poubelle pour se débarrasser de la gomme à mâcher. C’est à ce moment précis que sa vie bascule : n’osant jeter le petit bout de chewing-gum par terre, il commence à le rouler entre ses doigts. Durant ce long-courrier, Chappell a même eu une illumination : créer, avec le temps, une énorme boule en nicorettes. Six années plus tard et quelque 95 200 bonbons à la nicotine malaxés, Chappell se retrouve être l’heureux propriétaire d’un mastodonte médicamenteux pesant pas loin de 80 kilos pour une circonférence d’environ 60 centimètres.