-
Les deux Chefs d’Etat se sont félicités de l’évolution positive que connaît le partenariat maroco-mauritanien dans tous les domaines
-
Réunion à Rabat du Conseil mondial de l'Internationale socialiste sous la présidence du président de l’IS et du Premier secrétaire de l’USFP
-
Ligne directe Casablanca-Pékin : La RAM scelle son retour en Chine avec 16 conventions
-
La Chambre des représentants et le Haut Conseil d'Etat libyens expriment leur gratitude au Maroc pour ses efforts visant à mettre fin à la crise en Libye
-
Signature d’un mémorandum d'entente dans le domaine de la lutte et la prévention de la traite des êtres humains entre le Maroc et la Côte d'Ivoire
Rappelant l’ensemble des réformes menées depuis l’Indépendance grâce à l’introduction de nombreuses initiatives visant le parachèvement de l’édification d’une société marocaine démocratique et moderne, Abdelouahed Radi a fait part au cours de son allocution des grands chantiers ouverts ayant permis à la femme de s’émanciper sur les plans social, économique, politique et culturel.
Le ministre de la Justice a indiqué que les réformes entreprises au niveau du Droit ne font que concrétiser de façon notoire le choix juste du Maroc. Soulignant à cet effet que le Royaume est l’une des nations pionnières en matière d’intégration de la femme dans le cycle de la Justice. A ce propos, la première femme juge aussi bien au Maroc que dans le monde arabe a commencé à exercer en 1961, sachant que notre pays compte désormais 611 femmes magistrates, soit un taux de 20% du corps de la magistrature.
48 ans après, la femme magistrate marocaine se veut à la hauteur de la responsabilité. Une réussite professionnelle qui lui a donné le droit de gravir les échelles pour occuper les plus hauts postes dans le cycle de la Justice, a fait savoir M.Radi.
Et pour aller davantage de l’avant, le ministre de la Justice a rappelé que son département veille à ce que les magistrates marocaines prennent part massivement à des programmes de formation ou de collaboration internationale en vue de faire valoir leurs potentialités, tout en investissant leurs compétences dans le développement de notre système judiciaire.