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On l'appelle «Zahrat Attarab» et ce n'est que justice rendue à son grand talent. Fatima Zahra Laâroussi fait preuve d'une boulimie artistique qui la mène tantôt aux studios
d'enregistrement,
tantôt aux sitcoms,
ou encore aux spots publicitaires; tout cela, elle le fait avec
beaucoup de réussite. Chanteuse et
comédienne, elle est imbue de musique andalouse et de
chansons classiques, ce qui explique son
interprétation veloutée. Aussi, ne manque-t-elle jamais à l'appel
lorsqu'il s'agit de
participer à des soirées à vocation sociale. Sur ce registre, c'est une championne. Nous l'avons rencontrée pour avoir de ses nouvelles et c'est avec beaucoup d'amabilité et de gentillesse qu'elle a accepté de nous éclairer sur ses nouveautés. Entretien
Libé: Quelles sont vos dernières nouvelles ?
Fatima Zahra Laâroussi : Dernièrement, j'ai donné une soirée pour l'Association des mélomanes où l'on m'a rendu hommage. J'ai aussi participé à un concert en faveur de l'Association de lutte contre le cancer du sein à Marrakech où il y a eu un congrès qui s'est terminé par une soirée. Je me prépare à aller à Dakhla pour participer à son festival lors de la soirée de clôture. Pour cette soirée, j'ai préparé un répertoire varié, arabe et occidental.
Cet événement connaîtra d'ailleurs quelque chose d'exclusif en ce sens que j'ai préparé une tenue spéciale à l’occasion, tenue dont je ne dirai rien pour garder le côté surprise. Tout ce que je peux dire, c'est qu'elle a été conçue par la grande styliste Najia Abbadi. Après Dakhla, je vais à Paris pour donner deux concerts à l'Institut du monde Arabe (IMA) où j'interpréterai des chansons classiques. Après, je reviendrai au pays pour donner un concert en faveur des enfants abandonnés. J'en profite pour signaler que j'avais composé une chanson pour la Ligue marocaine de protection de l'enfance qui est d'ailleurs devenue la chanson officielle de cette Ligue. Je l'avais chanté avec des enfants abandonnés et démunis. Je donnerai d'autre part, un concert le 8 mars à l'occasion de la Journée mondiale de la femme.
On va finir par croire que le côté acteur l'emporte sur celui de chanteur. D'ailleurs, on n'entend plus vos chansons. Que se passe-t-il ?
Non je ne pense pas. Les radios passent mes chansons, la télévision aussi. D'ailleurs j'ai été l'invitée spéciale de l'émission « Shran maâk lila » sur 2M, où j’ai interprété des chansons arabes et des chansons occidentales. Je suis, par ailleurs, en train d'enregistrer une chanson sur le Maroc écrite par Mustafa Baghdad. J'ai aussi enregistré un single qui s'intitule « Ana oullil », une chanson rythmée qui s'appelle « Blad almaghrib habbitha » qui s’inscrit dans le cadre d'une grande tournée à travers le Maroc. Je vais jouer et chanter dans une grande opérette qui parle du Maroc, des différentes régions avec le rôle d’une touriste.
C'est un grand projet qui va être concrétisé au Maroc et à l'étranger avec la collaboration des ministères des Affaires étrangères, de la Culture, du Tourisme et celui de la Communauté marocaine à l'étranger. C'est vous dire que je suis très présente sur la scène artistique. Dernièrement, j'ai joué dans une sitcom diffusée en prime time et qui avait réalisé le taux d'audience le plus fort. C'était une très bonne expérience. Pourtant, je n'avais jamais pensé devenir comédienne, car je suis plutôt portée sur le chant. Mais comme cette expérience a été concluante, je promets à mon public de participer à d'autres sitcoms et films très prochainement. Le plus important donc pour moi, c'est le chant. Le reste vient après.
d'enregistrement,
tantôt aux sitcoms,
ou encore aux spots publicitaires; tout cela, elle le fait avec
beaucoup de réussite. Chanteuse et
comédienne, elle est imbue de musique andalouse et de
chansons classiques, ce qui explique son
interprétation veloutée. Aussi, ne manque-t-elle jamais à l'appel
lorsqu'il s'agit de
participer à des soirées à vocation sociale. Sur ce registre, c'est une championne. Nous l'avons rencontrée pour avoir de ses nouvelles et c'est avec beaucoup d'amabilité et de gentillesse qu'elle a accepté de nous éclairer sur ses nouveautés. Entretien
Libé: Quelles sont vos dernières nouvelles ?
Fatima Zahra Laâroussi : Dernièrement, j'ai donné une soirée pour l'Association des mélomanes où l'on m'a rendu hommage. J'ai aussi participé à un concert en faveur de l'Association de lutte contre le cancer du sein à Marrakech où il y a eu un congrès qui s'est terminé par une soirée. Je me prépare à aller à Dakhla pour participer à son festival lors de la soirée de clôture. Pour cette soirée, j'ai préparé un répertoire varié, arabe et occidental.
Cet événement connaîtra d'ailleurs quelque chose d'exclusif en ce sens que j'ai préparé une tenue spéciale à l’occasion, tenue dont je ne dirai rien pour garder le côté surprise. Tout ce que je peux dire, c'est qu'elle a été conçue par la grande styliste Najia Abbadi. Après Dakhla, je vais à Paris pour donner deux concerts à l'Institut du monde Arabe (IMA) où j'interpréterai des chansons classiques. Après, je reviendrai au pays pour donner un concert en faveur des enfants abandonnés. J'en profite pour signaler que j'avais composé une chanson pour la Ligue marocaine de protection de l'enfance qui est d'ailleurs devenue la chanson officielle de cette Ligue. Je l'avais chanté avec des enfants abandonnés et démunis. Je donnerai d'autre part, un concert le 8 mars à l'occasion de la Journée mondiale de la femme.
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C'est un grand projet qui va être concrétisé au Maroc et à l'étranger avec la collaboration des ministères des Affaires étrangères, de la Culture, du Tourisme et celui de la Communauté marocaine à l'étranger. C'est vous dire que je suis très présente sur la scène artistique. Dernièrement, j'ai joué dans une sitcom diffusée en prime time et qui avait réalisé le taux d'audience le plus fort. C'était une très bonne expérience. Pourtant, je n'avais jamais pensé devenir comédienne, car je suis plutôt portée sur le chant. Mais comme cette expérience a été concluante, je promets à mon public de participer à d'autres sitcoms et films très prochainement. Le plus important donc pour moi, c'est le chant. Le reste vient après.