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Fabienne Benoit, c’est Dame
communication à l’ATP et surtout au Tournoi Hassan II de tennis qui se déroule au Complexe Al Amal. Une véritable cheville ouvrière ! Cette Suisse polyglotte est
partout et organise tout le
relationnel entre la presse et les joueurs. Très sollicitée, on la retrouve partout ! Du court
central à son bureau exigu dans le centre de presse en passant par les locaux réservés aux joueurs,
elle est vraiment un lien
incontournable dans
l’organisation du Tournoi. Libé a profité d’un moment de répit pour Fabienne entre la fin d’une
journée chargée et la préparation d’une soirée conviviale réservée aux joueurs, dit-on du côté des organisateurs ! Entretien.
LIBE : En quoi consiste votre fonction au juste ? Veuillez vous présenter au public.
Fabienne Benoit : Je suis chargée de la communication pour le compte de l’ATP. Je m’occupe du relationnel entre les médias et les joueurs. Je fais le médiateur entre la presse et les joueurs. J’organise les conférences des joueurs. Je dois également m’occuper des relations entre ces derniers, les sponsors et les organisateurs. Il est dit, bien sûr, que j’ai la responsabilité de l’organisation du séjour, du transport et de l’animation en étroite collaboration avec les organisateurs. Chaque année, je fais environ quinze tournois dans le circuit international dont le Grand Prix Hassan II et auquel je participe pour la cinquième année consécutive.
Justement que pensez vous du Tournoi Hassan II que vous connaissez bien maintenant puisque vous l’avez vu évoluer ?
Il est certain que le Grand Prix Hassan II a beaucoup évolué selon les normes ATP. La Fédération Royale marocaine de tennis et surtout l’équipe conduite par Khalid Outaleb font des efforts et du bon travail qui se répercute sur la qualité du tournoi et son niveau. Il devient de plus en plus attractif. Il s’améliore et bénéficie d’une impressionnante couverture médiatique et la présence de joueurs de valeur. Il est devenu un tournoi incontournable avant de s’attaquer aux grands tournois du circuit. Il a acquis à travers les médias, une importance indispensable pour la promotion du tennis marocain. Côté organisation, il est certain qu’il y a un effort qui se fait à tous les niveaux : restauration, animation, séjour et transport des joueurs. Et c’est très important pour le prestige d’un tournoi du circuit ATP. Certes, un effort est souhaitable au niveau de la dotation, mais je crois que ça viendra car les organisateurs semblent décidés à aller de l’avant pour le Grand Prix Hassan II.
Vu votre fonction à l’ATP, vous êtes souvent en voyage et presque toujours occupée. Le tennis absorbe la plupart de votre vie. Quelle est la place de la famille dans tout ça ?
(Rires). Bonne question ! Je crois que j’ai de la chance d’être fiancée à un tennisman marocain qui connaît bien les contraintes et les rouages du circuit tennistique. On voyage ensemble et quand ce n’est pas le cas, chacun essaie d’être compréhensif. Par ailleurs, j’ai vécu dans une famille focalisée sur le sport. Mon père se charge de la communication à la fédération suisse de football, il est également journaliste sportif.
Quels sont les joueurs qui vous ont le plus marquée, à part Ali Alaoui ?
(Rires). Je crois que j’ai commencé à aimer le tennis grâce au joueur espagnol Bruguera. J’ai assisté avec ma famille à un de ses matchs et ça m’a beaucoup plu. Maintenant en tant que Suisse, j’aime Fédérer mais de nos jours, beaucoup de joueurs ont un haut niveau et se valent tous.
communication à l’ATP et surtout au Tournoi Hassan II de tennis qui se déroule au Complexe Al Amal. Une véritable cheville ouvrière ! Cette Suisse polyglotte est
partout et organise tout le
relationnel entre la presse et les joueurs. Très sollicitée, on la retrouve partout ! Du court
central à son bureau exigu dans le centre de presse en passant par les locaux réservés aux joueurs,
elle est vraiment un lien
incontournable dans
l’organisation du Tournoi. Libé a profité d’un moment de répit pour Fabienne entre la fin d’une
journée chargée et la préparation d’une soirée conviviale réservée aux joueurs, dit-on du côté des organisateurs ! Entretien.
LIBE : En quoi consiste votre fonction au juste ? Veuillez vous présenter au public.
Fabienne Benoit : Je suis chargée de la communication pour le compte de l’ATP. Je m’occupe du relationnel entre les médias et les joueurs. Je fais le médiateur entre la presse et les joueurs. J’organise les conférences des joueurs. Je dois également m’occuper des relations entre ces derniers, les sponsors et les organisateurs. Il est dit, bien sûr, que j’ai la responsabilité de l’organisation du séjour, du transport et de l’animation en étroite collaboration avec les organisateurs. Chaque année, je fais environ quinze tournois dans le circuit international dont le Grand Prix Hassan II et auquel je participe pour la cinquième année consécutive.
Justement que pensez vous du Tournoi Hassan II que vous connaissez bien maintenant puisque vous l’avez vu évoluer ?
Il est certain que le Grand Prix Hassan II a beaucoup évolué selon les normes ATP. La Fédération Royale marocaine de tennis et surtout l’équipe conduite par Khalid Outaleb font des efforts et du bon travail qui se répercute sur la qualité du tournoi et son niveau. Il devient de plus en plus attractif. Il s’améliore et bénéficie d’une impressionnante couverture médiatique et la présence de joueurs de valeur. Il est devenu un tournoi incontournable avant de s’attaquer aux grands tournois du circuit. Il a acquis à travers les médias, une importance indispensable pour la promotion du tennis marocain. Côté organisation, il est certain qu’il y a un effort qui se fait à tous les niveaux : restauration, animation, séjour et transport des joueurs. Et c’est très important pour le prestige d’un tournoi du circuit ATP. Certes, un effort est souhaitable au niveau de la dotation, mais je crois que ça viendra car les organisateurs semblent décidés à aller de l’avant pour le Grand Prix Hassan II.
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(Rires). Bonne question ! Je crois que j’ai de la chance d’être fiancée à un tennisman marocain qui connaît bien les contraintes et les rouages du circuit tennistique. On voyage ensemble et quand ce n’est pas le cas, chacun essaie d’être compréhensif. Par ailleurs, j’ai vécu dans une famille focalisée sur le sport. Mon père se charge de la communication à la fédération suisse de football, il est également journaliste sportif.
Quels sont les joueurs qui vous ont le plus marquée, à part Ali Alaoui ?
(Rires). Je crois que j’ai commencé à aimer le tennis grâce au joueur espagnol Bruguera. J’ai assisté avec ma famille à un de ses matchs et ça m’a beaucoup plu. Maintenant en tant que Suisse, j’aime Fédérer mais de nos jours, beaucoup de joueurs ont un haut niveau et se valent tous.