-
Lutte contre les stéréotypes liés au genre dans l'enseignement
-
Les enfants et le Ramadan: Gradualité et motivation pour une initiation en douceur
-
La Maison de maternité de M'semrir : Un exemple de l’engagement constant de l'INDH en faveur de la santé maternelle et infantile
-
Dans la campagne marocaine, le Ramadan s’écoule au rythme du lever et coucher de soleil

Deux personnes, dont un ingénieur, ont vu leurs peines de prison réduites mardi devant l'annexe de la Cour d'appel de Salé, après avoir été reconnues coupables de financement et d'apologie d'actes terroristes.
La Cour a en effet revu à la baisse de deux ans à un an la durée d'emprisonnement pour Z. S., qui exerçait en tant qu'ingénieur, poursuivi pour avoir "financé de groupes terroristes". L'autre prévenu, R. K., a écopé d'une peine de six mois au lieu d'un an, prononcée en première instance, pour "apologie de terrorisme".
Verdicts
Des verdicts allant de l'acquittement à un an de prison ferme ont été prononcés, lundi soir par l'annexe de la Cour d'appel de Salé, contre 19 détenus de la prison de Salé pour leur implication dans les actes de vandalisme commis les 16 et 17 mai 2011 dans cet établissement pénitentiaire.
La chambre criminelle (1er degré) près cette Cour avait rendu le 29 mars dernier des jugements allant de l'acquittement à deux ans d'emprisonnement pour 52 détenus pour "séquestration, désobéissance, coups et blessures et destruction de bâtiments et édifices publics".
La prison locale de Salé a été le théâtre, en mai 2011, d'actes de violence et de vandalisme commis par un groupe de détenus qui ont détruit le pavillon où ils étaient placés et blessé, par jets de pierres, une centaine d'éléments des forces de l'ordre ainsi que des gardiens de l'établissement.
Arrestation
Trois gardes civils et deux agents de la police espagnole ont été arrêtés, mardi dans la ville occupée de Melillia pour leur collaboration présumée dans le trafic de drogues et aide à l'émigration clandestine, a-t-on indiqué, mercredi, de sources policières
Les agents ont été interpellés lors d'une opération, mardi soir, au poste frontière de Melillia, pour avoir "fermé les yeux sur le passage de drogues et d'immigrants sans documents", ajoutent les mêmes sources, citées par des médias locaux.
Les mis en cause seront déférés devant la justice, après complément d'enquête.