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Le Congrès a réélu Mohamed Harwachi pour cinq ans à la tête de l’Association pour la défense des Marocains expulsés d'Algérie, et lui a délégué la tâche de composer son bureau. Les intervenants ont mis l’accent sur les difficultés et les réussites de l’ADMEA à défendre la question des expulsés d’Algérie à travers le monde et dans les instances internationales. L’ADMEA a toujours exigé le dédommagement des expulsés accompagné d’excuses solennelles de la part des autorités algériennes appelées également à faire toute la lumière sur le sort des disparus et des tombes clandestines de Sabkha où seraient enterrés des Marocains.
Pour le président de l’ADMEA, Mohamed Harwach, le deuxième Congrès a été une réussite puisqu’il a pu débattre dans un esprit de démocratie et de solidarité des problèmes des expulsés d’Algérie, ce qui permettra dans l’avenir d’adopter une nouvelle stratégie dans le combat pour que justice soit faite. Aujourd’hui et après trente-cinq ans de souffrances, les plaies sont toujours ouvertes. Les jeunes ont grandi et les grands ont vieilli mais restent attachés à une mémoire commune et à un même objectif: celui de réparer le tort dont ils ont été victimes.