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Certains ont suggéré que ces objets auraient pu être façonnés par l'homme, mais après discussions entre scientifiques et ingénieurs, un "fort consensus" est apparu pour conclure que ces objets provenaient de la planète rouge.
Ce point de vue a été appuyé par le fait que les objets en question ont été vus au fond des trous creusés par Curiosity, et qu'ils sont donc placés sous la surface de Mars.
"On ne peut pas complètement exclure que ces objets ont été façonnés par l'homme mais nous pensons que ce n'est pas le cas", a ajouté le scientifique. La Nasa était arrivée à la conclusion la semaine passée qu'un objet brillant observé sur le sol près du robot dans les jours précédents était un bout de plastique qui aurait pu tomber du robot lui-même, ce qui ne compromettait pas son bon fonctionnement.
Mais pour les scientifiques, pouvoir utiliser les instruments d'analyse chimique et minéralogique (baptisés CheMin) est un pas important.
"On arrive à un seuil significatif de la mission en utilisant CheMin sur notre premier échantillon", a souligné John Grotzinger, chef de la mission. "Cet instrument nous donne une méthode d'identification des minéraux plus efficace. Pouvoir identifier de manière certaine les minéraux est important parce qu'ils enregistrent les conditions et l'environnement dans lesquelles ils se forment", a-t-il ajouté.L'engin spatial, d'une valeur de 2,5 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros) a atterri le 6 août dans le cratère de Gale, marquant un nouveau chapitre dans l'histoire de l'exploration interplanétaire.