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Le Dr Ariel Béresniak, directeur du Data Mining International à Genève et qui a dirigé l’étude, précise qu’il n’a pas remarqué de lien entre le thé et d’autres pathologies.
Selon les chercheurs, c’est lors du processus de transformation du thé vert en thé noir que certains types de flavonoïdes, responsables de cette action protectrice, sont créés en nombre. Dans une tasse de thé on compte ainsi environ 200 mg de flavonoïdes. La plupart étant libérées pendant la première minute d’infusion.
Cette étude vient confirmer les conclusions de précédentes publications sur le sujet. Les chercheurs expliquent : « Ces résultats sont compatibles avec ceux des études biologiques, physiologiques et écologiques précédentes menées sur le potentiel du thé noir sur le diabète et l’obésité. Ils fournissent de nouvelles et précieuses informations scientifiques à l’échelle mondiale. »
Une bonne nouvelle quand on sait que le nombre de diabétiques de type 2 a été multiplié par 6 dans le monde au cours des dernières décennies. D’après l’OMS (Organisation mondiale de la santé), la France devrait ainsi compter près d’un million de diabétiques supplémentaires d’ici 2030 ! Une bonne raison de se mettre au thé noir en complément d’une activité physique régulière et d’une alimentation équilibrée…