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Les participants à cette rencontre qui s'inscrit dans le cadre du projet "Jeunes pour la démocratie", lancé par l'association, il y a deux ans, ont traité de plusieurs thèmes, dont la place des jeunes dans la Constitution de 2011, les jeunes et la participation politique partisane et non-partisane, les jeunes et la participation civile, ainsi que les jeunes et les mutations opérées au niveau du système des valeurs. Dans une déclaration à la MAP, la secrétaire générale de "Médiateur pour la démocratie et les droits de l'Homme", Khadija Merouazi, a indiqué que cette rencontre, qui s'inscrit dans le cadre du projet "Jeunes pour la démocratie", élaboré en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour la démocratie et le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), vise à renforcer les capacités des jeunes dans les domaines de la démocratie, des droits de l'Homme et de la gouvernance.
L'association, a-t-elle poursuivi, a organisé deux universités de formation au profit de 200 jeunes filles et garçons issus de différentes régions du Royaume, l'objectif étant de contribuer au renforcement de leur capacité en matière de suivi et de contrôle des politiques publiques. Et de préciser que 60 jeunes filles et garçons se sont inscrits aux travaux des comités des deux universités de formation pour s'exercer sur l'évaluation des politiques publiques notamment les réalisations de l'actuel gouvernement. D'après Mme Marouazi, après cette étape, les jeunes se pencheront sur l'évaluation des réalisations de six départements publics relatifs notamment aux secteurs de la politique extérieure, social, économique et financier.
De son côté, la coordinatrice du projet "Jeunes pour la démocratie", Amina Boughalbi a fait savoir que cette rencontre s'érige en une plate-forme d'interaction ouverte entre jeunes, académiciens, politiciens et acteurs associatifs, estimant qu'elle leur offre l'opportunité d'exprimer, en toute liberté et objectivité, leurs points de vue quant au débat autour de la politique générale.