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Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
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Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie interpelle l’Exécutif au sujet de l’avenir du commerce extérieur, des infrastructures sportives, du phénomène des résidus de constructions dans les villes, entre autres
S’agissant de la situation de plus en plus dégradante de l’enseignement supérieur, Driss Lachguar a exprimé les inquiétudes de l’USFP et des autres partenaires sociaux quant à la politique du gouvernement visant à privatiser l’enseignement supérieur au Maroc et son avenir. Dans ce cadre, il a fait savoir que nombre de leurs questions préoccupantes émanent de l’interpénétration existante, pour les militants ittihadis, de la lutte pour les valeurs et le suivi des grandes questions et le cursus universitaire à travers la vie estudiantine et professorale.
Il n’a pas laissé passer l’occasion pour rappeler les développements qu’a connus l’enseignement public, depuis le gouvernement Abdellah Ibrahim, en passant par celui d’Abderrahmane El Youssoufi.
Et de poursuivre que l’intérêt de cette journée d’étude réside dans le contexte de l’étape actuelle où elle se tient marquée par la détermination de l’USFP, via ses deux Groupes socialistes au Parlement, à faire entendre les revendications populaires exprimées par les forces vives du pays. Cette journée d’étude doit être un signal significatif pour les responsables et un moyen important pour militer sur ce front.
A la fin de son intervention, Driss Lachguar a lancé un appel aux enseignants qui s’activent à constituer un front national pour la défense de l’université publique, à ne ménager aucun effort et à prendre contact avec tous ceux qui peuvent avoir de l’influence sur le pouvoir décisionnel au Parlement en vue de la révision du projet de la loi de Finances 2015.
Pour sa part, Mohamed Alami, le président du Groupe socialiste à la Chambre des conseillers, a tenu à souligner que le groupe a toujours assumé ses responsabilités constitutionnelles, notamment au niveau législatif et de contrôle de l’action du gouvernement concernant le développement du secteur de l’éducation et de la formation.
Il n’a pas manqué également d’exprimer son soutien inconditionnel à l’initiative qui a pour objectif de créer un front national pour la défense de l’université publique.