Une rencontre musicale exceptionnelle a eu lieu, jeudi soir au Théâtre Mohammed VI de Casablanca, où les rythmes envoûtants de Gnaoua ont fusionné avec les sonorités passionnées du Flamenco.
Cette soirée musicale des plus captivantes s'inscrit dans le cadre d'une résidence artistique dirigée par le maître gnaoua Hassan Boussou et le musicien flamenco Raúl Rodríguez et qui marque, selon les organisateurs de cet événement artistique, le début d'une collaboration créative et d'un échange interculturel entre ces deux traditions musicales emblématiques.
A noter que cette résidence artistique fait partie des préparatifs pour la prochaine édition du Festival La Mercè de Barcelone (du 20 au 24 septembre prochain). La ville de Casablanca sera à l'honneur lors de cette édition, offrant une opportunité de mettre en lumière la richesse de son patrimoine culturel et de ses expressions artistiques.
Ainsi, sous les voûtes majestueuses du Théâtre Mohammed VI, la fusion entre les rythmes Gnaoua et Flamenco a créé une ambiance électrique. Le public, venu en nombre, a été transporté par l’atmosphère enivrante de cette soirée où la musique a servi de pont entre deux cultures. Dès les premières notes, l'énergie était palpable, chaque accord de guitare flamenco se mêlant harmonieusement aux percussions profondes des qraqebs et du guembri gnaoua.
Les artistes ont enchaîné avec des interprétations magistrales de morceaux emblématiques tels que "Banya", "La Ilaha", "Hamouda", "Barma Sousa" et "Hamdouchia". Chacune de ces chansons a résonné avec une intensité particulière, capturant l'essence des deux traditions musicales. Les voix du Maalem Hassan Boussou et de Raúl Rodríguez, tantôt en solo, tantôt en duo, ont fait vibrer le public, suscitant des ovations à chaque interprétation.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, Mohamed Jouahri, directeur général de la SDL Casa Event et Animation, a indiqué que cette manifestation culturelle s’inscrit dans le cadre de la coopération entre la ville de Casablanca et Barcelone, soulignant que la fusion créée lors de ce concert entre la musique Gnaoua et le Flamenco sera également au programme du Festival La Mercè, l’un des plus importants en Espagne.
"Ce travail renforce le partenariat entre Casablanca et Barcelone", a-t-il poursuivi, exprimant son souhait de voir à l’avenir davantage de collaboration entre les deux villes.
Pour sa part, Abderrahim Outass, adjoint à la maire de Casablanca, chargé de la coopération internationale, a relevé que le spectacle de ce soir n’est que le début du travail artistique commun entre les deux villes, puisque le Festival La Mercè, qui met à l’honneur cette année la ville de Casablanca, connaîtra la participation de plusieurs artistes marocains.
Par ailleurs, le musicien flamenco Raúl Rodríguez s’est dit heureux d’être à Casablanca et de partager la scène avec Hassan Boussou, notant que cette collaboration est une opportunité de comprendre d'autres cultures, d'entrer en relation avec d'autres artistes et d'utiliser les rythmes et les mélodies en harmonie pour dialoguer.
Cette soirée musicale des plus captivantes s'inscrit dans le cadre d'une résidence artistique dirigée par le maître gnaoua Hassan Boussou et le musicien flamenco Raúl Rodríguez et qui marque, selon les organisateurs de cet événement artistique, le début d'une collaboration créative et d'un échange interculturel entre ces deux traditions musicales emblématiques.
A noter que cette résidence artistique fait partie des préparatifs pour la prochaine édition du Festival La Mercè de Barcelone (du 20 au 24 septembre prochain). La ville de Casablanca sera à l'honneur lors de cette édition, offrant une opportunité de mettre en lumière la richesse de son patrimoine culturel et de ses expressions artistiques.
Ainsi, sous les voûtes majestueuses du Théâtre Mohammed VI, la fusion entre les rythmes Gnaoua et Flamenco a créé une ambiance électrique. Le public, venu en nombre, a été transporté par l’atmosphère enivrante de cette soirée où la musique a servi de pont entre deux cultures. Dès les premières notes, l'énergie était palpable, chaque accord de guitare flamenco se mêlant harmonieusement aux percussions profondes des qraqebs et du guembri gnaoua.
Les artistes ont enchaîné avec des interprétations magistrales de morceaux emblématiques tels que "Banya", "La Ilaha", "Hamouda", "Barma Sousa" et "Hamdouchia". Chacune de ces chansons a résonné avec une intensité particulière, capturant l'essence des deux traditions musicales. Les voix du Maalem Hassan Boussou et de Raúl Rodríguez, tantôt en solo, tantôt en duo, ont fait vibrer le public, suscitant des ovations à chaque interprétation.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, Mohamed Jouahri, directeur général de la SDL Casa Event et Animation, a indiqué que cette manifestation culturelle s’inscrit dans le cadre de la coopération entre la ville de Casablanca et Barcelone, soulignant que la fusion créée lors de ce concert entre la musique Gnaoua et le Flamenco sera également au programme du Festival La Mercè, l’un des plus importants en Espagne.
"Ce travail renforce le partenariat entre Casablanca et Barcelone", a-t-il poursuivi, exprimant son souhait de voir à l’avenir davantage de collaboration entre les deux villes.
Pour sa part, Abderrahim Outass, adjoint à la maire de Casablanca, chargé de la coopération internationale, a relevé que le spectacle de ce soir n’est que le début du travail artistique commun entre les deux villes, puisque le Festival La Mercè, qui met à l’honneur cette année la ville de Casablanca, connaîtra la participation de plusieurs artistes marocains.
Par ailleurs, le musicien flamenco Raúl Rodríguez s’est dit heureux d’être à Casablanca et de partager la scène avec Hassan Boussou, notant que cette collaboration est une opportunité de comprendre d'autres cultures, d'entrer en relation avec d'autres artistes et d'utiliser les rythmes et les mélodies en harmonie pour dialoguer.
Bouillon de culture
Exposition
Le vernissage de l'exposition "Deviens le ciel de Reza" aura lieu, le 17 septembre à l'Institut français de Tétouan.
Cette exposition, qui se poursuivra jusqu'au 15 octobre, raconte les relations multiples qui tissent l’histoire de la famille dans son universalité, dans son lien à la foi, au divin à travers l’intimité d’un dialogue ou le partage d’une communauté, souligne l'Institut.
Les chemins multiples empruntés par le photographe Reza depuis 45 ans, entre guerres et paix, l’ont conduit à la rencontre d’enfants, de femmes et d’hommes dont le destin, unique, l’a marqué. Proche de chacun d’eux, au point de sentir leur souffrance comme leur joie, il raconte leurs mémoires d’humains, grâce à cet alphabet universel qu’est la photographie.
Au-delà des frontières, des diversités culturelles, ses photographies tendent à montrer le sourire derrière les larmes, la beauté derrière la tragédie, la vie toujours plus forte.
Poésie
L'Association "Wachme" pour la culture et l'art organisera, avec le soutien du conseil communal de la ville de Marrakech, les 28 et 29 septembre prochain, la première édition du Festival du poème arabe illustré, en hommage au grand poète marocain Abderrafie Jouahri, sous le thème "L'image au service de la poésie".
L'association a annoncé l'organisation d'un concours littéraire et artistique autour du thème "Le poème arabe illustré", dont la date limite de réception des candidatures est fixée au 31 août.
Des prix seront attribués aux lauréats, incluant le prix de la meilleure récitation, le prix de la meilleure illustration et le prix de l'œuvre intégrale.
Le vernissage de l'exposition "Deviens le ciel de Reza" aura lieu, le 17 septembre à l'Institut français de Tétouan.
Cette exposition, qui se poursuivra jusqu'au 15 octobre, raconte les relations multiples qui tissent l’histoire de la famille dans son universalité, dans son lien à la foi, au divin à travers l’intimité d’un dialogue ou le partage d’une communauté, souligne l'Institut.
Les chemins multiples empruntés par le photographe Reza depuis 45 ans, entre guerres et paix, l’ont conduit à la rencontre d’enfants, de femmes et d’hommes dont le destin, unique, l’a marqué. Proche de chacun d’eux, au point de sentir leur souffrance comme leur joie, il raconte leurs mémoires d’humains, grâce à cet alphabet universel qu’est la photographie.
Au-delà des frontières, des diversités culturelles, ses photographies tendent à montrer le sourire derrière les larmes, la beauté derrière la tragédie, la vie toujours plus forte.
Poésie
L'Association "Wachme" pour la culture et l'art organisera, avec le soutien du conseil communal de la ville de Marrakech, les 28 et 29 septembre prochain, la première édition du Festival du poème arabe illustré, en hommage au grand poète marocain Abderrafie Jouahri, sous le thème "L'image au service de la poésie".
L'association a annoncé l'organisation d'un concours littéraire et artistique autour du thème "Le poème arabe illustré", dont la date limite de réception des candidatures est fixée au 31 août.
Des prix seront attribués aux lauréats, incluant le prix de la meilleure récitation, le prix de la meilleure illustration et le prix de l'œuvre intégrale.