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Grâce à son riche patrimoine, ses infrastructures de classe mondiale, ses professionnels hautement qualifiés et ses incitations financières, le Maroc a consolidé sa place comme destination incontournable des productions cinématographiques mondiales, ont souligné, mardi à Marrakech, les participants à une rencontre organisée dans le cadre du 24ème Congrès mondial des producteurs scientifiques et factuels (WCSFP), qui se tient pour la première fois en Afrique.
Avec sa position géostratégique idéale comme porte d’entrée vers l’Afrique et le Moyen-Orient, le Maroc offre des lieux passionnants pour le tournage des œuvres cinématographiques de tous genres, des installations de production sophistiquées et des opportunités de financements attrayantes, ont relevé les professionnels ayant pris part à cette rencontre placée sous le thème "Pourquoi produire au Maroc ?".
Dans ce contexte, le directeur du Centre cinématographique marocain (CCM) et secrétaire général du département de la Communication du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Abdelaziz El Bouzdaini, a indiqué que le Royaume, fort de son riche héritage et de son dynamisme, est un acteur clé du cinéma mondial et un promoteur actif de ses propres talents et productions.
Le Maroc est un studio naturel à ciel ouvert qui offre une variété de décors naturels avec plus de 300 jours de soleil par an, a ajouté M. El Bouzdaini, précisant que cette luminosité unique est idéale pour les tournages cinématographiques.
Le Maroc dispose également de studios de tournage de classe mondiale bien équipés pour répondre aux besoins des productions internationales, a-t-il soutenu, relevant que l’infrastructure cinématographique sera renforcée par la création de la cité de cinéma dans la région d’Ouarzazate, offrant ainsi toutes les prestations nécessaires pour la réalisation de films cinématographiques.
A cet égard, le directeur du CCM a fait observer que le Maroc est devenu également un vivier de professionnels du cinéma hautement qualifiés dont le nombre s’élève à 3.400 professionnels spécialisés dans les différents domaines de l’industrie cinématographique (réalisation, production, direction de la photographie, montage, son…).
Pour consacrer cet élan, le CCM veille à la simplification des procédures et de la bonne marche des productions nationales et internationales au Maroc, a souligné M. El Bouzdaini, notant que les productions étrangères bénéficient de l’expertise des sociétés de production exécutives agréées par le CCM, qui leur apportent une assistance administrative, logistique et technique.
Dans le même sillage, Bissane Khaïrat, directrice marketing et programmation de la SNRT, a mis en exergue la richesse civilisationnelle et culturelle du Maroc qui fait du Royaume une destination de choix des productions cinématographiques étrangères, relevant que les investissements privés et publics pour promouvoir ce domaine ont donné des résultats tangibles.
De même, Mme Khaïrat a mis l'accent sur la valorisation et la formation des talents marocains qui contribuent énormément au rayonnement des différents métiers liés à la production cinématographique dans le Royaume.
De son côté, Reda Benjelloun, directeur des magazines d'information et du documentaire à Soread 2M, a fait remarquer que le Maroc dispose désormais d'une industrie cinématographique de premier plan à la faveur de ses infrastructures cinématographiques développées, son capital humain hautement qualifié, ses investissements soutenus dans le domaine du cinéma et de l'intérêt apporté par les autorités compétentes à ce secteur.
Terre de tolérance, de vivre-ensemble et d'histoire séculaire, le Maroc qui jouit d'une position géographique exceptionnelle entre l'Afrique et l'Europe et constitue une porte d'accès au marché africain, a réussi à jeter les bases d'une industrie cinématographique bien structurée et en plein essor, a-t-il dit.
Pour sa part, Hamid Herraf, directeur de production, a indiqué que le Maroc est un pays pluriel géographiquement, culturellement et historiquement, ayant consacré sa position comme destination privilégiée des productions cinématographiques, plus particulièrement des films documentaires.
Outre les avantages administratifs et en termes de financement, le Maroc dispose de techniciens professionnels hautement qualifiés qui contrôlent à la perfection tous les secrets du métier, a-t-il dit, précisant que ces atouts permettent de tourner des films dans le Royaume dans les meilleures conditions.
La productrice Khadija Alami, qui a modéré cette rencontre, s'est, quant à elle, attardée sur les incitations financières, mettant en avant le programme de soutien à la production des œuvres cinématographiques et audiovisuelles étrangères (Cash Rebate) instauré depuis 2018 au Maroc.
Le Cash Rebate permet aux productions étrangères de récupérer 20% sur les dépenses engagées sur le territoire marocain et depuis 2023 ce taux est passé à 30%, a-t-elle enchaîné.
Le Congrès mondial des producteurs scientifiques et factuels réunit les principaux créateurs de contenus scientifiques, historiques et naturels, les diffuseurs, les plateformes OTT et les éditeurs numériques pour un échange fructueux d'idées, de points de vue et de connexions qui façonneront l'avenir des contenus factuels.
Le programme de cet événement comprend une gamme importante d'orateurs principaux, de tables rondes et d'opportunités de réseautage conçues pour aborder les questions urgentes auxquelles l'industrie est confrontée.
Cette édition, la première en Afrique, promet de susciter des conversations qui façonneront l'avenir de la narration factuelle, selon les organisateurs.
A cette occasion, un dîner de gala a été organisé lundi soir au Palais Badii, en l'honneur des participants à cet événement en présence, notamment, du ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, ainsi que de personnalités du monde du 7ème art, de la culture et des médias.
Avec sa position géostratégique idéale comme porte d’entrée vers l’Afrique et le Moyen-Orient, le Maroc offre des lieux passionnants pour le tournage des œuvres cinématographiques de tous genres, des installations de production sophistiquées et des opportunités de financements attrayantes, ont relevé les professionnels ayant pris part à cette rencontre placée sous le thème "Pourquoi produire au Maroc ?".
Dans ce contexte, le directeur du Centre cinématographique marocain (CCM) et secrétaire général du département de la Communication du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Abdelaziz El Bouzdaini, a indiqué que le Royaume, fort de son riche héritage et de son dynamisme, est un acteur clé du cinéma mondial et un promoteur actif de ses propres talents et productions.
Le Maroc est un studio naturel à ciel ouvert qui offre une variété de décors naturels avec plus de 300 jours de soleil par an, a ajouté M. El Bouzdaini, précisant que cette luminosité unique est idéale pour les tournages cinématographiques.
Le Maroc dispose également de studios de tournage de classe mondiale bien équipés pour répondre aux besoins des productions internationales, a-t-il soutenu, relevant que l’infrastructure cinématographique sera renforcée par la création de la cité de cinéma dans la région d’Ouarzazate, offrant ainsi toutes les prestations nécessaires pour la réalisation de films cinématographiques.
A cet égard, le directeur du CCM a fait observer que le Maroc est devenu également un vivier de professionnels du cinéma hautement qualifiés dont le nombre s’élève à 3.400 professionnels spécialisés dans les différents domaines de l’industrie cinématographique (réalisation, production, direction de la photographie, montage, son…).
Pour consacrer cet élan, le CCM veille à la simplification des procédures et de la bonne marche des productions nationales et internationales au Maroc, a souligné M. El Bouzdaini, notant que les productions étrangères bénéficient de l’expertise des sociétés de production exécutives agréées par le CCM, qui leur apportent une assistance administrative, logistique et technique.
Dans le même sillage, Bissane Khaïrat, directrice marketing et programmation de la SNRT, a mis en exergue la richesse civilisationnelle et culturelle du Maroc qui fait du Royaume une destination de choix des productions cinématographiques étrangères, relevant que les investissements privés et publics pour promouvoir ce domaine ont donné des résultats tangibles.
De même, Mme Khaïrat a mis l'accent sur la valorisation et la formation des talents marocains qui contribuent énormément au rayonnement des différents métiers liés à la production cinématographique dans le Royaume.
De son côté, Reda Benjelloun, directeur des magazines d'information et du documentaire à Soread 2M, a fait remarquer que le Maroc dispose désormais d'une industrie cinématographique de premier plan à la faveur de ses infrastructures cinématographiques développées, son capital humain hautement qualifié, ses investissements soutenus dans le domaine du cinéma et de l'intérêt apporté par les autorités compétentes à ce secteur.
Terre de tolérance, de vivre-ensemble et d'histoire séculaire, le Maroc qui jouit d'une position géographique exceptionnelle entre l'Afrique et l'Europe et constitue une porte d'accès au marché africain, a réussi à jeter les bases d'une industrie cinématographique bien structurée et en plein essor, a-t-il dit.
Pour sa part, Hamid Herraf, directeur de production, a indiqué que le Maroc est un pays pluriel géographiquement, culturellement et historiquement, ayant consacré sa position comme destination privilégiée des productions cinématographiques, plus particulièrement des films documentaires.
Outre les avantages administratifs et en termes de financement, le Maroc dispose de techniciens professionnels hautement qualifiés qui contrôlent à la perfection tous les secrets du métier, a-t-il dit, précisant que ces atouts permettent de tourner des films dans le Royaume dans les meilleures conditions.
La productrice Khadija Alami, qui a modéré cette rencontre, s'est, quant à elle, attardée sur les incitations financières, mettant en avant le programme de soutien à la production des œuvres cinématographiques et audiovisuelles étrangères (Cash Rebate) instauré depuis 2018 au Maroc.
Le Cash Rebate permet aux productions étrangères de récupérer 20% sur les dépenses engagées sur le territoire marocain et depuis 2023 ce taux est passé à 30%, a-t-elle enchaîné.
Le Congrès mondial des producteurs scientifiques et factuels réunit les principaux créateurs de contenus scientifiques, historiques et naturels, les diffuseurs, les plateformes OTT et les éditeurs numériques pour un échange fructueux d'idées, de points de vue et de connexions qui façonneront l'avenir des contenus factuels.
Le programme de cet événement comprend une gamme importante d'orateurs principaux, de tables rondes et d'opportunités de réseautage conçues pour aborder les questions urgentes auxquelles l'industrie est confrontée.
Cette édition, la première en Afrique, promet de susciter des conversations qui façonneront l'avenir de la narration factuelle, selon les organisateurs.
A cette occasion, un dîner de gala a été organisé lundi soir au Palais Badii, en l'honneur des participants à cet événement en présence, notamment, du ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, ainsi que de personnalités du monde du 7ème art, de la culture et des médias.