Le film documentaire sénégalais "Lébou" de Ndèye Soukeynatou Diop, projeté mardi soir, dans le cadre de la compétition officielle du documentaire de la 17ème édition du Festival international du Film de femmes de Salé, appelle à une réflexion sur les impacts du changement climatique sur les communautés de pêcheurs au Sénégal.
Cette pellicule de 62 min dresse un portrait poignant de la communauté Léboue, attachée à sa culture, à la mer et à son identité de pêcheurs, aux prises avec les conséquences dévastatrices de l’urbanisation effrénée et du changement climatique, notamment la montée des eaux et la raréfaction des ressources halieutiques.
A travers un regard incisif, la cinéaste a également jeté la lumière dans ce documentaire sur l'impact de ces changements climatiques sur les flux migratoires et le déplacement de cette communauté conservatrice et autochtone de Dakar au niveau national et international.
Dans ce récit cinématographique poignant, Ndèye Soukeynatou Diop installe le débat et examine les relations entre tradition et modernité, mettant en avant les efforts déployés par la communauté Léboue pour préserver son identité culturelle et spirituelle face aux pressions extérieures.
"J'ai tourné ce documentaire dans mon village natal, qui est l'une des zones les plus impactées aujourd'hui par le réchauffement climatique", a indiqué la cinéaste dans une déclaration à la presse, expliquant qu'elle a voulu soulever dans ce film documentaire plusieurs questions en relation notamment avec les problèmes environnementaux et leurs impacts sur l’immigration.
Elle a également indiqué que les femmes font partie des personnes les plus touchées par la perte des activités économiques dues au dérèglement climatique, comme celles de la transformation des produits halieutiques, exprimant, par ailleurs, sa fierté de participer à ce festival qui met en lumière les œuvres cinématographiques féminines.
Cette pellicule de 62 min dresse un portrait poignant de la communauté Léboue, attachée à sa culture, à la mer et à son identité de pêcheurs, aux prises avec les conséquences dévastatrices de l’urbanisation effrénée et du changement climatique, notamment la montée des eaux et la raréfaction des ressources halieutiques.
A travers un regard incisif, la cinéaste a également jeté la lumière dans ce documentaire sur l'impact de ces changements climatiques sur les flux migratoires et le déplacement de cette communauté conservatrice et autochtone de Dakar au niveau national et international.
Dans ce récit cinématographique poignant, Ndèye Soukeynatou Diop installe le débat et examine les relations entre tradition et modernité, mettant en avant les efforts déployés par la communauté Léboue pour préserver son identité culturelle et spirituelle face aux pressions extérieures.
"J'ai tourné ce documentaire dans mon village natal, qui est l'une des zones les plus impactées aujourd'hui par le réchauffement climatique", a indiqué la cinéaste dans une déclaration à la presse, expliquant qu'elle a voulu soulever dans ce film documentaire plusieurs questions en relation notamment avec les problèmes environnementaux et leurs impacts sur l’immigration.
Elle a également indiqué que les femmes font partie des personnes les plus touchées par la perte des activités économiques dues au dérèglement climatique, comme celles de la transformation des produits halieutiques, exprimant, par ailleurs, sa fierté de participer à ce festival qui met en lumière les œuvres cinématographiques féminines.
Bouillon de culture
Coopération
Les moyens de renforcer la coopération culturelle et artistique entre l'Egypte et le Maroc ont été au centre d'entretiens entre l'ambassadeur du Maroc au Caire, Mohamed Ait Ouali, et le ministre égyptien de la Culture, Ahmed Fouad Hano.
Lors de cette rencontre, les deux parties ont examiné les moyens de promouvoir la coopération dans les domaines culturel et artistique, tout en mettant l'accent sur l'importance de l'échange d'expositions d'art, l'organisation d'événements culturels conjoints et d'ateliers artistiques.
La réunion a également porté sur la participation aux événements et festivals culturels et artistiques dans les deux pays ainsi que sur l'échange d'expertise dans le domaine de la préservation du patrimoine culturel.
M. Ait Ouali a salué, à cette occasion, les relations solides entre le Maroc et l'Egypte, notant qu'elles dépassent les frontières géographiques pour inclure des liens culturels et civilisationnels.
Il a également fait part de la volonté des deux pays d'élargir les horizons de coopération bilatérale et de mettre en avant le rôle de la culture dans la promotion de l'entente mutuelle, ajoutant que cette réunion reflète l'engagement en faveur du développement des relations bilatérales dans tous les domaines, en particulier la culture et les arts.
Pour sa part, le ministre égyptien s'est dit fier des "relations historiques" entre les deux pays, soulignant que la coopération culturelle est un pilier essentiel du renforcement des relations bilatérales. Grâce à ce partenariat, "nous œuvrons à faire revivre le patrimoine culturel commun et à promouvoir le dialogue entre les deux cultures", a-t-il fait remarquer.
La culture et les arts représentent un pont de communication que "nous nous efforçons de consolider en tant que garantie efficace en vue d'assurer la continuité des relations fraternelles", a ajouté le ministre.
Les moyens de renforcer la coopération culturelle et artistique entre l'Egypte et le Maroc ont été au centre d'entretiens entre l'ambassadeur du Maroc au Caire, Mohamed Ait Ouali, et le ministre égyptien de la Culture, Ahmed Fouad Hano.
Lors de cette rencontre, les deux parties ont examiné les moyens de promouvoir la coopération dans les domaines culturel et artistique, tout en mettant l'accent sur l'importance de l'échange d'expositions d'art, l'organisation d'événements culturels conjoints et d'ateliers artistiques.
La réunion a également porté sur la participation aux événements et festivals culturels et artistiques dans les deux pays ainsi que sur l'échange d'expertise dans le domaine de la préservation du patrimoine culturel.
M. Ait Ouali a salué, à cette occasion, les relations solides entre le Maroc et l'Egypte, notant qu'elles dépassent les frontières géographiques pour inclure des liens culturels et civilisationnels.
Il a également fait part de la volonté des deux pays d'élargir les horizons de coopération bilatérale et de mettre en avant le rôle de la culture dans la promotion de l'entente mutuelle, ajoutant que cette réunion reflète l'engagement en faveur du développement des relations bilatérales dans tous les domaines, en particulier la culture et les arts.
Pour sa part, le ministre égyptien s'est dit fier des "relations historiques" entre les deux pays, soulignant que la coopération culturelle est un pilier essentiel du renforcement des relations bilatérales. Grâce à ce partenariat, "nous œuvrons à faire revivre le patrimoine culturel commun et à promouvoir le dialogue entre les deux cultures", a-t-il fait remarquer.
La culture et les arts représentent un pont de communication que "nous nous efforçons de consolider en tant que garantie efficace en vue d'assurer la continuité des relations fraternelles", a ajouté le ministre.