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Le rideau est tombé, samedi soir au Théâtre Mohammed VI à Oujda, sur la 13ème édition du Festival international maghrébin du film, organisée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI.
La cérémonie de clôture de cette édition, placée sous le thème "Le cinéma entre la citoyenneté et l’appartenance humaine", a été marquée par la remise des prix de cette manifestation cinématographique.
Ainsi, dans la catégorie des courts métrages, le Grand prix est revenu au film marocain "Al Ayyam Arramadia’’ d’Abir Fathouni qui a également remporté le prix de la meilleure réalisation pour le même film, le prix du jury est allé au film "Walidok aala Alarjah’’ des frères mauritaniens Tayeb et Sidi Mohamed Taleb, alors que le prix du meilleur scénario a été décroché par le film marocain "For me’’ de la réalisatrice Intisar El-Azhari.
Le jury du court métrage, présidé par l'acteur et réalisateur marocain Driss Roukhe, a souligné, à cette l’occasion, l’importance d’ouvrir cette compétition à un plus grand nombre de films lors des prochaines éditions, et de consacrer des prix au meilleur rôle féminin, au meilleur rôle masculin et à la meilleure musique.
Pour ce qui est des longs métrages, le film soudanais "Goodbye Julia" de Mohamed Kordofani s’est emparé du Grand prix, tandis que le film marocain "Mon père n’est pas mort" d’Adel El Fadili s’est adjugé le prix du jury.
Le prix de la meilleure réalisation a été octroyé au long métrage "Disco Africa" de Luck Razanajaona (Madagascar), et celui du meilleur scénario au film sénégalais "Le mouton de Saada" de Pape Lopy.
Le jury a également accordé une mention spéciale aux films français "Valensole 1965" du réalisateur Dominic Felol, et tunisien "Derrière la montagne" de Mohamed Ben Attia.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l'Association Ciné-Maghreb, Khalid Sli, a souligné que cette édition, marquée par un programme riche et varié, était une véritable occasion de célébrer le septième art et de promouvoir la culture de l’art et du cinéma, en particulier chez les enfants et les générations montantes, comme un outil efficace pour consolider les valeurs nobles.
La cérémonie de clôture de ce festival, organisé par l'Association Ciné-Maghreb (5-9 novembre), a été rehaussée par un hommage rendu à plusieurs personnalités du monde du cinéma et de l'art, qui ont contribué à l’enrichissement de la scène culturelle avec leurs oeuvres.
Lors de cette édition, plus de 25 films ont été projetés dans les compétitions officielles de longs et courts métrages, avec une sélection spéciale pour les enfants et des projections en plein air dans divers lieux emblématiques de la ville d’Oujda.
Le festival a proposé aussi une série d’ateliers, séminaires, tables rondes et master class, ainsi que des rencontres avec des célébrités et invités d’honneur.
Cet événement vise à contribuer à la promotion de la scène artistique maghrébine et au renforcement des liens entre les peuples et les cultures, en plus de développer et de célébrer l'industrie cinématographique.
La cérémonie de clôture de cette édition, placée sous le thème "Le cinéma entre la citoyenneté et l’appartenance humaine", a été marquée par la remise des prix de cette manifestation cinématographique.
Ainsi, dans la catégorie des courts métrages, le Grand prix est revenu au film marocain "Al Ayyam Arramadia’’ d’Abir Fathouni qui a également remporté le prix de la meilleure réalisation pour le même film, le prix du jury est allé au film "Walidok aala Alarjah’’ des frères mauritaniens Tayeb et Sidi Mohamed Taleb, alors que le prix du meilleur scénario a été décroché par le film marocain "For me’’ de la réalisatrice Intisar El-Azhari.
Le jury du court métrage, présidé par l'acteur et réalisateur marocain Driss Roukhe, a souligné, à cette l’occasion, l’importance d’ouvrir cette compétition à un plus grand nombre de films lors des prochaines éditions, et de consacrer des prix au meilleur rôle féminin, au meilleur rôle masculin et à la meilleure musique.
Pour ce qui est des longs métrages, le film soudanais "Goodbye Julia" de Mohamed Kordofani s’est emparé du Grand prix, tandis que le film marocain "Mon père n’est pas mort" d’Adel El Fadili s’est adjugé le prix du jury.
Le prix de la meilleure réalisation a été octroyé au long métrage "Disco Africa" de Luck Razanajaona (Madagascar), et celui du meilleur scénario au film sénégalais "Le mouton de Saada" de Pape Lopy.
Le jury a également accordé une mention spéciale aux films français "Valensole 1965" du réalisateur Dominic Felol, et tunisien "Derrière la montagne" de Mohamed Ben Attia.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l'Association Ciné-Maghreb, Khalid Sli, a souligné que cette édition, marquée par un programme riche et varié, était une véritable occasion de célébrer le septième art et de promouvoir la culture de l’art et du cinéma, en particulier chez les enfants et les générations montantes, comme un outil efficace pour consolider les valeurs nobles.
La cérémonie de clôture de ce festival, organisé par l'Association Ciné-Maghreb (5-9 novembre), a été rehaussée par un hommage rendu à plusieurs personnalités du monde du cinéma et de l'art, qui ont contribué à l’enrichissement de la scène culturelle avec leurs oeuvres.
Lors de cette édition, plus de 25 films ont été projetés dans les compétitions officielles de longs et courts métrages, avec une sélection spéciale pour les enfants et des projections en plein air dans divers lieux emblématiques de la ville d’Oujda.
Le festival a proposé aussi une série d’ateliers, séminaires, tables rondes et master class, ainsi que des rencontres avec des célébrités et invités d’honneur.
Cet événement vise à contribuer à la promotion de la scène artistique maghrébine et au renforcement des liens entre les peuples et les cultures, en plus de développer et de célébrer l'industrie cinématographique.
Bouillon de la culture
Théâtre
La troupe de théâtre Chamat a présenté, samedi au centre culturel Mohammed El Menouni à Meknès, sa nouvelle création "Barid" (Le Courrier), avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication.
Inspiré du roman "Courrier de nuit" de Houda Barakat, cette pièce a été écrite, adaptée et mise en scène par Bouselham Daif.
Elle réunit sur scène l'acteur Abdelhaq Zerouali aux côtés de Hind Belaoula, Soufiane Naim et Amine Belmaaza.
Dans une déclaration à la MAP, le metteur scène de la pièce a indiqué que cette nouvelle production marque le début de la 26ème saison du théâtre Chamat, ajoutant que cette troupe marque aussi l’ouverture sur une nouvelle expérience et un nouveau texte traitant de questions d’actualité.
Le pari de la troupe, a-t-il dit, est de présenter des pièces qui abordent les préoccupations du public avec différentes techniques d’écriture et de mise en scène.
De son côté, Abdelhak Zerouali a souligné que ce qui compte actuellement, c’est de reconquérir la confiance du public marocain qui, à l’image de l’équipe nationale de football, doit pouvoir disposer de grandes troupes de théâtre.
Il s’est dit "fier" de sa présence parmi les étudiants de l’institut qui ont interprété cette pièce, invitant tous les acteurs à œuvrer pour la promotion de l’action culturelle, en particulier du théâtre.
A noter que la troupe Chamat s’efforce, sous le thème "Théâtre citoyen, théâtre pour la vie", de sensibiliser le public à l’importance du théâtre dans la vie sociale et culturelle.
Dans le cadre de son programme de résidence, la troupe offre un large éventail d'activités, notamment des ateliers de formation théâtrale encadrés par des diplômés de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle.
La troupe de théâtre Chamat a présenté, samedi au centre culturel Mohammed El Menouni à Meknès, sa nouvelle création "Barid" (Le Courrier), avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication.
Inspiré du roman "Courrier de nuit" de Houda Barakat, cette pièce a été écrite, adaptée et mise en scène par Bouselham Daif.
Elle réunit sur scène l'acteur Abdelhaq Zerouali aux côtés de Hind Belaoula, Soufiane Naim et Amine Belmaaza.
Dans une déclaration à la MAP, le metteur scène de la pièce a indiqué que cette nouvelle production marque le début de la 26ème saison du théâtre Chamat, ajoutant que cette troupe marque aussi l’ouverture sur une nouvelle expérience et un nouveau texte traitant de questions d’actualité.
Le pari de la troupe, a-t-il dit, est de présenter des pièces qui abordent les préoccupations du public avec différentes techniques d’écriture et de mise en scène.
De son côté, Abdelhak Zerouali a souligné que ce qui compte actuellement, c’est de reconquérir la confiance du public marocain qui, à l’image de l’équipe nationale de football, doit pouvoir disposer de grandes troupes de théâtre.
Il s’est dit "fier" de sa présence parmi les étudiants de l’institut qui ont interprété cette pièce, invitant tous les acteurs à œuvrer pour la promotion de l’action culturelle, en particulier du théâtre.
A noter que la troupe Chamat s’efforce, sous le thème "Théâtre citoyen, théâtre pour la vie", de sensibiliser le public à l’importance du théâtre dans la vie sociale et culturelle.
Dans le cadre de son programme de résidence, la troupe offre un large éventail d'activités, notamment des ateliers de formation théâtrale encadrés par des diplômés de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’animation culturelle.