Le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a présidé, samedi au siège du Centre cinématographique marocain à Rabat, la cérémonie d'inauguration officielle de la Cinémathèque marocaine.
A l'instar des cinémathèques internationales, cette nouvelle structure se propose d'offrir un espace dédié à la conservation, la documentation et la restauration du patrimoine cinématographique national, ainsi qu'à la promotion d’œuvres cinématographiques marocaines et internationales.
A cet égard, M. Bensaid a affirmé que la Cinémathèque marocaine œuvrera à l'établissement de partenariats stratégiques à même de restaurer les œuvres cinématographiques et documentaires marocaines.
Dans une déclaration à la presse, le ministre a souligné que cet établissement a pour objectif de renforcer la position du Maroc dans le paysage cinématographique mondial, relevant que les jeunes Marocains "aspirent à connaître l'histoire du cinéma national, ce qui fait de la Cinémathèque un espace essentiel pour préserver cet héritage culturel et le rapprocher des nouvelles générations".
Il a ajouté que la Cinémathèque bénéficiera du soutien nécessaire pour atteindre ses objectifs en matière de conservation, de restauration et de valorisation du patrimoine cinématographique national, à travers la mise à disposition des moyens et ressources nécessaires lui permettant d’accomplir sa mission de manière optimale.
S’exprimant à cette occasion, la directrice de la Cinémathèque marocaine, Narjiss Nejjar, a indiqué que la mission de la Cinémathèque repose sur trois piliers fondamentaux, à savoir "la conservation, la transmission et l’inspiration", avec une collection précieuse de films représentant diverses époques et écoles cinématographiques.
Mme Nejjar a fait savoir que la Cinémathèque organisera, à partir du mois d'avril, un "marathon cinématographique" de 100 jours, durant lequel seront projetés 100 films représentant un siècle de cinéma marocain, arabe, africain et international.
Elle a formulé l'espoir de voir la Cinémathèque marocaine s'ériger en phare de rayonnement culturel et artistique.
La cérémonie d’inauguration a été rehaussée par la présence d’André Azoulay, conseiller de Sa Majesté le Roi, ainsi que de personnalités éminentes du monde de l'art et de la culture.
A l'instar des cinémathèques internationales, cette nouvelle structure se propose d'offrir un espace dédié à la conservation, la documentation et la restauration du patrimoine cinématographique national, ainsi qu'à la promotion d’œuvres cinématographiques marocaines et internationales.
A cet égard, M. Bensaid a affirmé que la Cinémathèque marocaine œuvrera à l'établissement de partenariats stratégiques à même de restaurer les œuvres cinématographiques et documentaires marocaines.
Dans une déclaration à la presse, le ministre a souligné que cet établissement a pour objectif de renforcer la position du Maroc dans le paysage cinématographique mondial, relevant que les jeunes Marocains "aspirent à connaître l'histoire du cinéma national, ce qui fait de la Cinémathèque un espace essentiel pour préserver cet héritage culturel et le rapprocher des nouvelles générations".
Il a ajouté que la Cinémathèque bénéficiera du soutien nécessaire pour atteindre ses objectifs en matière de conservation, de restauration et de valorisation du patrimoine cinématographique national, à travers la mise à disposition des moyens et ressources nécessaires lui permettant d’accomplir sa mission de manière optimale.
S’exprimant à cette occasion, la directrice de la Cinémathèque marocaine, Narjiss Nejjar, a indiqué que la mission de la Cinémathèque repose sur trois piliers fondamentaux, à savoir "la conservation, la transmission et l’inspiration", avec une collection précieuse de films représentant diverses époques et écoles cinématographiques.
Mme Nejjar a fait savoir que la Cinémathèque organisera, à partir du mois d'avril, un "marathon cinématographique" de 100 jours, durant lequel seront projetés 100 films représentant un siècle de cinéma marocain, arabe, africain et international.
Elle a formulé l'espoir de voir la Cinémathèque marocaine s'ériger en phare de rayonnement culturel et artistique.
La cérémonie d’inauguration a été rehaussée par la présence d’André Azoulay, conseiller de Sa Majesté le Roi, ainsi que de personnalités éminentes du monde de l'art et de la culture.
Bouillon de culture
Colloque
Un colloque scientifique sur les contributions de l'académicien Salem Chaker se tiendra les 18 et 19 février à Rabat, sous le thème "Un héritage de mots et de savoirs", à l'initiative de la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc.
Cette rencontre est organisée en hommage au professeur Salem Chaker, éminent spécialiste et académicien en linguistique amazighe, qui a généreusement fait don de sa bibliothèque personnelle à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, indique-t-on dans un communiqué.
Cet évènement mettra en lumière les contributions académiques et le parcours de chercheur de cet ancien professeur à l’Institut des langues et civilisations orientales de Paris (INALCO) puis à l’Université d’Aix-Marseille et qui a notamment dirigé l"'Encyclopédie berbère".
Au programme de cette rencontre figurent une séance inaugurale dédiée aux collections de Salem Chaker, offertes à la Bibliothèque nationale, ainsi qu'une journée d’étude présidée par Abdellah Bounfour de l'INALCO.
La deuxième session, intitulée "Anthropologie et linguistique diachronique" se tiendra sous la présidence de Meftaha Ameur de l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, avec la participation de Hélène Claudot-Hawad (CNRS, Aix-en-Provence), ainsi qu’Abdellah Bounfour et Malika Assam (Université d’Aix-Marseille).
La troisième session sur "Linguistique descriptive et linguistique diachronique" sera présidée par Hélène Claudot-Hawad, avec les interventions de Meftaha Ameur, Abdellah Boumalk (Institut Royal de la culture amazighe, Rabat) et Kamel Nait-Zerrad (INALCO, Paris).
Ce colloque se clôturera par une quatrième et dernière session sur le thème "Histoire et linguistique diachronique", dirigée par Jorge Pintado, avec les contributions d’Ahmed M’charek (Université de Tunis), Abdellah Fili (Université Chouaïb Doukkali, El Jadida) et Mansour Ghaki (Université de Tunis).
Un colloque scientifique sur les contributions de l'académicien Salem Chaker se tiendra les 18 et 19 février à Rabat, sous le thème "Un héritage de mots et de savoirs", à l'initiative de la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc.
Cette rencontre est organisée en hommage au professeur Salem Chaker, éminent spécialiste et académicien en linguistique amazighe, qui a généreusement fait don de sa bibliothèque personnelle à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, indique-t-on dans un communiqué.
Cet évènement mettra en lumière les contributions académiques et le parcours de chercheur de cet ancien professeur à l’Institut des langues et civilisations orientales de Paris (INALCO) puis à l’Université d’Aix-Marseille et qui a notamment dirigé l"'Encyclopédie berbère".
Au programme de cette rencontre figurent une séance inaugurale dédiée aux collections de Salem Chaker, offertes à la Bibliothèque nationale, ainsi qu'une journée d’étude présidée par Abdellah Bounfour de l'INALCO.
La deuxième session, intitulée "Anthropologie et linguistique diachronique" se tiendra sous la présidence de Meftaha Ameur de l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, avec la participation de Hélène Claudot-Hawad (CNRS, Aix-en-Provence), ainsi qu’Abdellah Bounfour et Malika Assam (Université d’Aix-Marseille).
La troisième session sur "Linguistique descriptive et linguistique diachronique" sera présidée par Hélène Claudot-Hawad, avec les interventions de Meftaha Ameur, Abdellah Boumalk (Institut Royal de la culture amazighe, Rabat) et Kamel Nait-Zerrad (INALCO, Paris).
Ce colloque se clôturera par une quatrième et dernière session sur le thème "Histoire et linguistique diachronique", dirigée par Jorge Pintado, avec les contributions d’Ahmed M’charek (Université de Tunis), Abdellah Fili (Université Chouaïb Doukkali, El Jadida) et Mansour Ghaki (Université de Tunis).