"Je pense qu'ils vont aimer": plus grand succès d'une production chinoise au box-office national, le film d'animation "Ne Zha 2" est désormais diffusé à l'étranger, suscitant chez les Chinois l'espoir qu'il fasse mieux connaître leur culture.
Dans les cinémas de Pékin, des foules de spectateurs faisaient la queue dimanche pour obtenir des affiches et produits dérivés du film, devenu l'oeuvre cinématographique chinoise ayant amassé les plus grosses recettes de l'histoire.
C'est aussi le premier film à rapporter plus d'un milliard de dollars sur un seul marché. Il dépasse ainsi "Star Wars, épisode VII: Le Réveil de la Force", qui avait emmagasiné 936 millions de dollars aux Etats-Unis en 2015.
Cette comédie fantastique, librement inspirée du roman du XVIe siècle "L'investiture des dieux", raconte l'histoire d'un esprit changé en démon dans le corps d'un enfant, Ne Zha, qui doit combattre de redoutables ennemis.
Après des débuts tonitruants en Chine, "Ne Zha 2" (prononcer "Neu-Djâ" 2) est sorti sur grand écran cette semaine aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Aucune date n'est pour l'instant annoncée en France.
Dans un cinéma de Sanlitun, quartier branché de Pékin, Zhou Jingwen, une spectatrice de 29 ans, déclare venir voir le film pour la troisième fois.
"C'est différent des films d'animation américains traditionnels", affirme-t-elle. Elle pense qu'il sera apprécié des étrangers, notamment pour son contenu "avec beaucoup de références à la mythologie chinoise".
Le film a nécessité cinq années de conception.
Sorti le 29 janvier en Chine, le film permet de revigorer l'industrie cinématographique nationale, après des recettes au box-office qui avaient chuté de 23% en 2024 sur un an.
Selon Zhang Kaihan, fan de la série, les spectateurs étrangers pourront mieux comprendre la culture chinoise à travers les costumes et les décors du film. "Je pense qu'ils vont aimer", ajoute-t-il.
A côté, Wen Juan, une maman, est venue avec ses deux fils, âgés de 4 et 12 ans.
Elle dit apprécier l'oeuvre car elle donne une vision "plus moderne des relations parents-enfants".
Les parents de Ne Zha encouragent leur fils, leur laissant une relative liberté, loin du stéréotype de la famille asiatique stricte.
"Le film reprend des éléments traditionnels, tout en les adaptant et je trouve que c'est vraiment bien fait", souligne-t-elle.
"Je suis contente que nos amis étrangers aient l'occasion de découvrir que la Chine a aussi des histoires mythologiques fascinantes."
Dans les cinémas de Pékin, des foules de spectateurs faisaient la queue dimanche pour obtenir des affiches et produits dérivés du film, devenu l'oeuvre cinématographique chinoise ayant amassé les plus grosses recettes de l'histoire.
C'est aussi le premier film à rapporter plus d'un milliard de dollars sur un seul marché. Il dépasse ainsi "Star Wars, épisode VII: Le Réveil de la Force", qui avait emmagasiné 936 millions de dollars aux Etats-Unis en 2015.
Cette comédie fantastique, librement inspirée du roman du XVIe siècle "L'investiture des dieux", raconte l'histoire d'un esprit changé en démon dans le corps d'un enfant, Ne Zha, qui doit combattre de redoutables ennemis.
Après des débuts tonitruants en Chine, "Ne Zha 2" (prononcer "Neu-Djâ" 2) est sorti sur grand écran cette semaine aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Aucune date n'est pour l'instant annoncée en France.
Dans un cinéma de Sanlitun, quartier branché de Pékin, Zhou Jingwen, une spectatrice de 29 ans, déclare venir voir le film pour la troisième fois.
"C'est différent des films d'animation américains traditionnels", affirme-t-elle. Elle pense qu'il sera apprécié des étrangers, notamment pour son contenu "avec beaucoup de références à la mythologie chinoise".
Le film a nécessité cinq années de conception.
Sorti le 29 janvier en Chine, le film permet de revigorer l'industrie cinématographique nationale, après des recettes au box-office qui avaient chuté de 23% en 2024 sur un an.
Selon Zhang Kaihan, fan de la série, les spectateurs étrangers pourront mieux comprendre la culture chinoise à travers les costumes et les décors du film. "Je pense qu'ils vont aimer", ajoute-t-il.
A côté, Wen Juan, une maman, est venue avec ses deux fils, âgés de 4 et 12 ans.
Elle dit apprécier l'oeuvre car elle donne une vision "plus moderne des relations parents-enfants".
Les parents de Ne Zha encouragent leur fils, leur laissant une relative liberté, loin du stéréotype de la famille asiatique stricte.
"Le film reprend des éléments traditionnels, tout en les adaptant et je trouve que c'est vraiment bien fait", souligne-t-elle.
"Je suis contente que nos amis étrangers aient l'occasion de découvrir que la Chine a aussi des histoires mythologiques fascinantes."
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