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Le film comique marocain «Ana Machi Ana» a été projeté, mardi au Caire, dans le cadre de la 45è édition du Festival international du film du Caire.
Le long métrage retrace le parcours du personnage Farid, campé par l’acteur Aziz Dadas, qui profite de sa lune de miel en compagnie de sa quatrième épouse, avant d’être surpris par ses trois ex-épouses qui se sont liguées pour se venger de lui et de ses escroqueries.
La projection de ce film, produit en 2023, dans le cadre des projections spéciales du festival, reflète l’importance des productions cinématographiques marocaines sur la scène arabe et internationale et jette la lumière sur la qualité et le professionnalisme du septième-art marocain qui continue d’attirer l’attention à l’échelle internationale.
Le film, écrit et réalisé par Hicham El Jabbari, réunit une pléiade de stars du cinéma marocain, aux côtés du célèbre acteur Aziz Dadas, connu par ses performances variées et son style comique unique, ainsi que les actrices Majdouline Idrissi, Dounia Boutazout, Soukaina Drabil et Wissal Perez.
Dans une déclaration à la MAP, M. El Jabbari a souligné que le cinéma marocain signe une présence remarquable à tous les niveaux dans cette 45è édition, que ce soit dans la compétition officielle, les projections spéciales ou dans le cadre de la compétition de la semaine de la critique internationale.
Il a relevé que cette forte participation constitue une occasion idoine pour faire connaitre le long-métrage «Ana Machi Ana» et pour établir des ponts de communication avec le public égyptien et arabe, outre le fait qu’il s'agit d'une opportunité pour renforcer la visibilité du septième-art marocain sur la scène régionale et arabe et confirmer sa présence en tant que force artistique en quête de davantage de réussites.
Il est temps de consolider la place du cinéma marocain au niveau arabe et international, particulièrement dans le bassin méditerranéen et en Afrique, a-t-il insisté, notant que la scène cinématographique marocaine se distingue par la diversité des thèmes traités et des écoles de réalisation, ce qui lui permet de jouer le rôle de levier d’exportation de l’identité et de la culture marocaines.
L’acteur Aziz Dadas a, pour sa part, déclaré que le doublage du long-métrage en dialecte égyptien pour sa projection dans le cadre du Festival, aux côtés de célèbres films internationaux et arabes, vise à garantir une compréhension facile du film, exprimant le vœu que cette production soit une réussite auprès du public et des critiques.
Il a, de même, noté que les productions cinématographiques comiques, commerciales ou les films d’auteurs marocains ont réalisé des progrès significatifs au cours des dernières années, ce qui s'est traduit par plusieurs prix glanés lors de festivals arabes et internationaux.
Le Maroc est représenté également à ce festival par une membre du jury de la compétition de la Semaine de la critique internationale, à savoir l’actrice Nissrin Erradi, et un film intitulé «Radia» de la réalisatrice Khaoula Assebab Benomar.
D'autre part, le Maroc participe à la compétition «Horizons du cinéma arabe», avec le film «Marja Zarqa» (lagune bleue) du réalisateur Daoud Oulad Al-Sayed, et dans la catégorie des projets CFC en phase de post-production avec le film marocain «Al Matroud Min Rahmat Allah» du réalisateur Hicham Al-Assri.
Cette manifestation cinématographique majeure sur la scène arabe et africaine connait la participation de 194 films de 72 pays.
Le long métrage retrace le parcours du personnage Farid, campé par l’acteur Aziz Dadas, qui profite de sa lune de miel en compagnie de sa quatrième épouse, avant d’être surpris par ses trois ex-épouses qui se sont liguées pour se venger de lui et de ses escroqueries.
La projection de ce film, produit en 2023, dans le cadre des projections spéciales du festival, reflète l’importance des productions cinématographiques marocaines sur la scène arabe et internationale et jette la lumière sur la qualité et le professionnalisme du septième-art marocain qui continue d’attirer l’attention à l’échelle internationale.
Le film, écrit et réalisé par Hicham El Jabbari, réunit une pléiade de stars du cinéma marocain, aux côtés du célèbre acteur Aziz Dadas, connu par ses performances variées et son style comique unique, ainsi que les actrices Majdouline Idrissi, Dounia Boutazout, Soukaina Drabil et Wissal Perez.
Dans une déclaration à la MAP, M. El Jabbari a souligné que le cinéma marocain signe une présence remarquable à tous les niveaux dans cette 45è édition, que ce soit dans la compétition officielle, les projections spéciales ou dans le cadre de la compétition de la semaine de la critique internationale.
Il a relevé que cette forte participation constitue une occasion idoine pour faire connaitre le long-métrage «Ana Machi Ana» et pour établir des ponts de communication avec le public égyptien et arabe, outre le fait qu’il s'agit d'une opportunité pour renforcer la visibilité du septième-art marocain sur la scène régionale et arabe et confirmer sa présence en tant que force artistique en quête de davantage de réussites.
Il est temps de consolider la place du cinéma marocain au niveau arabe et international, particulièrement dans le bassin méditerranéen et en Afrique, a-t-il insisté, notant que la scène cinématographique marocaine se distingue par la diversité des thèmes traités et des écoles de réalisation, ce qui lui permet de jouer le rôle de levier d’exportation de l’identité et de la culture marocaines.
L’acteur Aziz Dadas a, pour sa part, déclaré que le doublage du long-métrage en dialecte égyptien pour sa projection dans le cadre du Festival, aux côtés de célèbres films internationaux et arabes, vise à garantir une compréhension facile du film, exprimant le vœu que cette production soit une réussite auprès du public et des critiques.
Il a, de même, noté que les productions cinématographiques comiques, commerciales ou les films d’auteurs marocains ont réalisé des progrès significatifs au cours des dernières années, ce qui s'est traduit par plusieurs prix glanés lors de festivals arabes et internationaux.
Le Maroc est représenté également à ce festival par une membre du jury de la compétition de la Semaine de la critique internationale, à savoir l’actrice Nissrin Erradi, et un film intitulé «Radia» de la réalisatrice Khaoula Assebab Benomar.
D'autre part, le Maroc participe à la compétition «Horizons du cinéma arabe», avec le film «Marja Zarqa» (lagune bleue) du réalisateur Daoud Oulad Al-Sayed, et dans la catégorie des projets CFC en phase de post-production avec le film marocain «Al Matroud Min Rahmat Allah» du réalisateur Hicham Al-Assri.
Cette manifestation cinématographique majeure sur la scène arabe et africaine connait la participation de 194 films de 72 pays.
Bouillon de la culture
Flamenco
L’Institut Cervantes de Marrakech a organisé, mardi soir, un spectacle de flamenco "AnDanzas", une aventure sonore et visuelle, où la guitare et la danse se rencontrent dans un dialogue intime et évocateur.
Le duo, composé d’Antonia Jiménez, l’une des guitaristes et compositrices espagnoles les plus représentatives de la guitare féminine actuelle, et de Rosario Toledo, avec sa vision très personnelle de la danse flamenca, ont emmené le public dans une aventure émouvante et trépidante.
Dans une déclaration à la MAP, le duo espagnol a exprimé sa fierté d'être au Maroc pour interpréter le flamenco et incarner l'harmonie entre la musique et la danse.
Antonia Jiménez et Rosario Toledo ont expliqué que leur duo est basé sur la guitare et la danse flamenco, avec des performances coordonnées qui créent un dialogue intime entre leurs façons respectives d'exprimer cette forme d'art authentique.
Cet événement, organisé en collaboration avec l’ambassade d’Espagne au Maroc et l’Institut National des Arts de la Scène Espagnols (INAEM), s’inscrit dans le cadre du Congrès mondial du Flamenco que le Maroc accueille pour la troisième année consécutive sous l'égide de l'ambassade d'Espagne à Rabat et l'Institut Cervantes, avec le soutien du ministère espagnol de la Culture et le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication du Maroc, ainsi que diverses institutions locales.
Il inclut treize spectacles en plus d'ateliers, de colloques et de projections, qui se tiendront durant ce mois de novembre dans sept villes du Royaume : Rabat, Casablanca, Meknès, Tanger, Tétouan, Marrakech et Agadir.
Cette initiative vise à rapprocher le public marocain d’un art authentiquement espagnol et universel à la fois, favorisant ainsi l'échange culturel entre le Royaume de l’Espagne et le Royaume du Maroc.
L’Institut Cervantes de Marrakech a organisé, mardi soir, un spectacle de flamenco "AnDanzas", une aventure sonore et visuelle, où la guitare et la danse se rencontrent dans un dialogue intime et évocateur.
Le duo, composé d’Antonia Jiménez, l’une des guitaristes et compositrices espagnoles les plus représentatives de la guitare féminine actuelle, et de Rosario Toledo, avec sa vision très personnelle de la danse flamenca, ont emmené le public dans une aventure émouvante et trépidante.
Dans une déclaration à la MAP, le duo espagnol a exprimé sa fierté d'être au Maroc pour interpréter le flamenco et incarner l'harmonie entre la musique et la danse.
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Il inclut treize spectacles en plus d'ateliers, de colloques et de projections, qui se tiendront durant ce mois de novembre dans sept villes du Royaume : Rabat, Casablanca, Meknès, Tanger, Tétouan, Marrakech et Agadir.
Cette initiative vise à rapprocher le public marocain d’un art authentiquement espagnol et universel à la fois, favorisant ainsi l'échange culturel entre le Royaume de l’Espagne et le Royaume du Maroc.