Le nouveau film "Alwatra", réalisé par Driss Roukh, devait être projeté mercredi dans le cadre de la compétition officielle des longs métrages, en marge de la 24ème édition du Festival national du film de Tanger.
Ce long métrage, produit par Hamid Al Sarghini et distribué par Asma Graimiche, est inspiré des réalités sociales marocaines et présente un drame humain puissant qui reflète les défis de la migration intérieure et de la précarité des quartiers marginalisés, indiquent les producteurs du film dans un communiqué.
"Alwatra" raconte l’histoire de Chaiba, un artiste populaire qui joue de l’instrument traditionnel Alwatar. Contraint de quitter son village frappé par la sécheresse, il part avec sa femme et son fils à la recherche d’une vie meilleure en ville. Leur espoir les mène à Casablanca, où Chaiba retrouve son cousin Mhrish, qui habite dans un bidonville. Ce lieu est connu pour sa criminalité omniprésente, incluant le trafic de drogue, la prostitution et divers crimes.
Malgré son innocence et son attachement à son art, Chaiba est rapidement exploité par Mhrish, qui l’introduit dans un monde de décadence. Perdu dans cet univers sombre, Chaiba devient une figure des nuits casablancaises, fréquentant les boîtes de nuit et se détachant progressivement de sa famille. Incapable de supporter cette déchéance, sa femme et son fils décident de l’abandonner pour reconstruire leur vie ailleurs, loin de lui et des dangers du bidonville.
A travers le parcours de Chaiba, Alwatra explore la fragilité de la condition humaine dans un environnement marqué par la pauvreté et les lois de la jungle, poursuit la même source, notant que le film illustre la lutte quotidienne pour survivre dans les bidonvilles, où seules les personnes les plus fortes et influentes parviennent à s’imposer.
Il traite également de la perte de repères et de l’isolement qui peuvent frapper ceux qui, comme Chaiba, se retrouvent piégés dans un monde qui les dépasse.
Driss Roukhe est un cinéaste marocain reconnu pour ses œuvres qui abordent des thématiques sociales et humaines. Avec "Alwatra", il offre une vision brute et réaliste de la vie dans les quartiers défavorisés, tout en mettant en lumière la dislocation familiale et les conséquences des choix imposés par la misère.
Le réalisateur continue de repousser les limites du cinéma marocain en abordant des sujets sensibles et universels, touchant les spectateurs par la sincérité de ses récits, conclut le communiqué.
Ce long métrage, produit par Hamid Al Sarghini et distribué par Asma Graimiche, est inspiré des réalités sociales marocaines et présente un drame humain puissant qui reflète les défis de la migration intérieure et de la précarité des quartiers marginalisés, indiquent les producteurs du film dans un communiqué.
"Alwatra" raconte l’histoire de Chaiba, un artiste populaire qui joue de l’instrument traditionnel Alwatar. Contraint de quitter son village frappé par la sécheresse, il part avec sa femme et son fils à la recherche d’une vie meilleure en ville. Leur espoir les mène à Casablanca, où Chaiba retrouve son cousin Mhrish, qui habite dans un bidonville. Ce lieu est connu pour sa criminalité omniprésente, incluant le trafic de drogue, la prostitution et divers crimes.
Malgré son innocence et son attachement à son art, Chaiba est rapidement exploité par Mhrish, qui l’introduit dans un monde de décadence. Perdu dans cet univers sombre, Chaiba devient une figure des nuits casablancaises, fréquentant les boîtes de nuit et se détachant progressivement de sa famille. Incapable de supporter cette déchéance, sa femme et son fils décident de l’abandonner pour reconstruire leur vie ailleurs, loin de lui et des dangers du bidonville.
A travers le parcours de Chaiba, Alwatra explore la fragilité de la condition humaine dans un environnement marqué par la pauvreté et les lois de la jungle, poursuit la même source, notant que le film illustre la lutte quotidienne pour survivre dans les bidonvilles, où seules les personnes les plus fortes et influentes parviennent à s’imposer.
Il traite également de la perte de repères et de l’isolement qui peuvent frapper ceux qui, comme Chaiba, se retrouvent piégés dans un monde qui les dépasse.
Driss Roukhe est un cinéaste marocain reconnu pour ses œuvres qui abordent des thématiques sociales et humaines. Avec "Alwatra", il offre une vision brute et réaliste de la vie dans les quartiers défavorisés, tout en mettant en lumière la dislocation familiale et les conséquences des choix imposés par la misère.
Le réalisateur continue de repousser les limites du cinéma marocain en abordant des sujets sensibles et universels, touchant les spectateurs par la sincérité de ses récits, conclut le communiqué.