-
Une météorite martienne lève le voile sur la formation des continents terrestres
-
Le recours à l'IA connaît une "augmentation fulgurante" parmi les étudiants britanniques
-
Dans un Grand Nord convoité, le Canada se renforce pour ne pas perdre du terrain
-
L'usage des pesticides continue à augmenter dans le monde

Cette robe Dior avec des incrustations en argent, de 1968, n'était estimée qu'à 5.000 dollars mais elle a déchaîné les passions des enchérisseurs.
Au total, la collection haute couture de l'actrice, morte d'une crise cardiaque en mars de cette année à l'âge de 79 ans, a rapporté quelque 2,6 millions de dollars sous le marteau des commissaires-priseurs de la maison Christie's.
La vente de mercredi, la troisième de la semaine consacrée à l'héritage de Liz Taylor, a vu également une lithographie réalisée par Andy Warhol partir à 662.500 dollars.
Une robe de bal Chanel, assortie d'une cape, d'un sac et d'escarpins, s'est adjugée à 134.500 dollars; une veste Versace ornée de représentations de l'actrice dans plusieurs de ses films a trouvé preneur à 128.500 dollars.
Se félicitant d'une "vente extrêmement fructueuse", Andrea Fiuczynski, présidente de Christie's Los Angeles, a estimé que les résultats de cette série d'enchères étaient comme le testament de Liz Taylor, que nul, dit-elle, n'a remplacée.
"Aucune célébrité aujourd'hui ne fait tout ce qu'elle accomplissait", a-t-elle ajouté en faisant notamment allusion à l'engagement de Liz Taylor auprès des malades du sida.
La dispersion aux enchères de la collection Taylor se poursuit ce jeudi avec des œuvres d'art et différents souvenirs.
Elle a été précédée d'une série d'expositions et d'événements dont les droits seront versés à la Fondation Elizabeth Taylor pour la lutte contre le sida, que l'actrice anglo-américaine avait créée en 1991.