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Le drame a eu lieu dans la ville de Salt (Gérone). Le mari, de la même nationalité, s'est approché de son épouse, âgée de 46 ans, pour lui assener plusieurs coups de poignard en pleine rue devant les badauds ébahis, ont annoncé des sources policières citées par les médias locaux.
La femme était encore en vie à l'arrivée d'une patrouille de la police. Elle a rendu l'âme à son arrivée aux urgences de l'hôpital de Salt où elle avait été évacuée d'urgence.
Le couple, qui a plusieurs enfants, résidait depuis plusieurs années dans cette ville catalane.
Le Mari, El Hassan El A, avait déposé récemment une plainte contre son épouse pour abandon du domicile conjugal. Il s'est rendu à la police aussitôt son forfait accompli.
Il s'agit de la deuxième marocaine à trouver la mort des mains de son époux en Catalogne, une région autonome du Nord-est de l'Espagne qui concentre une très forte communauté marocaine estimée à près de 300.000 personnes.
Récemment, un autre marocain, établi à Terrassa (Barcelone) avait tué son épouse devant leurs propres enfants, avant d’être arrêté par la police catalane.
Le présumé meurtrier Driss E.B, âgé d’une quarantaine d’années, avait assené plusieurs coups de couteau à son épouse, âgée de trente ans dans le domicile familial que partageait le couple avec trois autres membres de la famille du mari.
Le ressortissant marocain, un homme sans problème, était installé depuis dix ans en Espagne où il travaillait dans le secteur de la construction. Il était au chômage depuis un an.
Ce terrible drame avait soulevé un vif émoi dans la ville Catalane de Terrassa où une minute de silence à la mémoire de la victime avait été décrétée par la municipalité. Par ailleurs, l’audience provinciale de Tarragone (Catalogne) a condamné, lundi, à 20 ans de prison, le meurtrier de la jeune marocaine Sanae Haddadi, assassinée en 2008.
La défunte (27 ans) avait été sauvagement assassinée en mars 2008 à Tarragone par un prétendant éconduit. L’auteur du crime, de même nationalité, lui avait assené plusieurs coups de couteaux en pleine rue.
Le tribunal de Tarragone a condamné Mohamed Belkhair à 19 ans de prison pour délit d’homicide plus une année de prison pour délit d’harcèlement.
Le Tribunal l’a également condamné à verser 140.000 d’euros d’indemnisation à la famille de la victime.
Mohamed Belkhair avait été déclaré “coupable” par le jury populaire de l’Audience provinciale de Tarragone, lors du procès qui avait débuté la première semaine du mois courant.
Le jury avait également demandé au tribunal de ne pas retenir les “circonstances atténuantes” requises par la défense, estimant que le coupable “jouissait de toutes ses facultés mentales au moment des faits”.
Dans cette affaire, le ministère public avait exigé une peine de 23 ans de prison ferme contre l’accusé, en qualifiant le forfait d’”assassinat”, une peine assortie de trois autres années d’emprisonnement pour harcèlement et menaces.
La jeune marocaine se trouvait devant la porte de la téléboutique où elle travaillait, attendant son frère pour rentrer ensemble, lorsqu’elle avait été surprise par Mohamed Belkhair qui lui a porté plusieurs coups de couteaux mortels.