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Cette décision a été prise à la suite de réactions hostiles suscitées par l'invitation de l'artiste, qui a été condamné en 2009 à cinq ans de prison en France pour des violences commises sur son ex-compagne et pour avoir tenté d'interrompre de force sa grossesse.
La controverse a rappelé celle entourant l'invitation, également annulée, faite par un théâtre montréalais au chanteur Bertrand Cantat, condamné pour avoir causé la mort de l'actrice Marie Trintignant.
L'ampleur de la polémique a conduit le directeur du Festival du monde arabe, Joseph Nakhlé, à revenir sur son projet de faire venir le “prince du raï”.
Initialement, la décision d'inviter Cheb Mami avait été prise par un comité de trois personnes, dont les avis étaient divisés, a indiqué M. Nakhlé au quotidien La Presse.
“Nos choix sont d'abord artistiques” et “majoritairement, on disait qu'on ne pouvait pas aller au bout de la logique” qui interdit à un artiste ayant “payé sa dette” de s'exprimer, a-t-il expliqué.
“Si Cheb Mami avait écrit un livre, aurait-on empêché sa maison d'édition de le publier ?”, a encore demandé le directeur du festival.
Remis en liberté conditionnelle en mars dernier, le chanteur a fait son retour sur la scène algéroise début juillet. Près de deux mille personnes ont assisté à son premier concert dans la station balnéaire de Sid Fredj, à 25 km à l'ouest d'Alger.
Lors de son procès, Cheb Mami avait demandé pardon à son ex-compagne, une photographe de presse.