-
Covid-19: Un rapport d'élus américains soutient la thèse de la fuite d'un laboratoire
-
Accord Hamas-Fatah sur la formation d'un comité pour administrer Gaza après la guerre
-
Appels à la désescalade face à l'offensive rebelle en Syrie
-
Le régime syrien perd la ville d'Alep
-
L'Etat belge condamné pour le placement forcé d'enfants métis au Congo pendant la colonisation
Cela faisait plusieurs mois que l’affaire était discutée entre Paris et Le Caire. Et c’est lundi 14 décembre, lors de la visite du président Moubarak à Paris que la question a été tranchée. Le sommet n’aura pas lieu en février 2010 à Charm el-Cheikh, mais en France. Probablement au mois de mai selon le ministre français de la Coopération. Le lieu n’a pas été fixé.
Aussi bien au Caire qu’à Paris on reconnait que l’objectif était clairement de ne pas avoir à trancher sur le cas du président soudanais. Le Caire, pays hôte du sommet initialement prévu, ne pouvait pas ne pas inviter Omar el-Béchir, un de ses alliés dans la région. De son côté, la France, elle, ne pouvait pas l’accepter à cette grand messe, puisqu’il est poursuivi par la Cour pénale internationale.