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Tout commencera ce mardi 1er décembre. La cour d’appel de Milan devrait annoncer sa décision sur l’obligation ou non, pour le groupe Fininvest dont Berlusconi est le propriétaire, de verser au titre de dédommagement 750 millions d’euros à l’homme d’affaires, Carlo De Benedetti, pour le rachat truqué de la maison d’édition Mondadori.
Le 4 décembre, la cour d’appel de Palerme va être transférée pour des raisons de sécurité au tribunal de Turin. Elle entendra un repenti de Cosa nostra, Gaspare Spatuzza, dans le cadre du procès en appel de Marcello Dell’Utri, déjà condamné à 9 ans de prison pour collusion avec la mafia.
Le sénateur Dell’Utri et ami de Berlusconi depuis 40 ans, est le cofondateur de Forza Italia. Or, selon ce repent qui va être entendu à Turini, Berlusconi et Dell’Utri auraient scellé un pacte avec Cosa nostra pour obtenir l’assurance de la victoire du parti Forza Italia aux législatives de 1994. Ce même 4 décembre, c’est la reprise d’un procès pour corruption à Milan. Il concerne l’affaire Mills, du nom de l’ex-avocat britannique, qui aurait perçu 600 000 dollars en échange de faux témoignages en faveur de Silvio Berlusconi.
Enfin le 5 décembre, ce sera le NoBD, le « no Berlusconi Day », manifestation anti-Berlusconi, organisée par des comités, sur le réseau social Facebook et soutenu par l’ex-magistrat vedette des Affaires mains propres, le sénateur Antonio Di Pietro.