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Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
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Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
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L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
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Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie interpelle l’Exécutif au sujet de l’avenir du commerce extérieur, des infrastructures sportives, du phénomène des résidus de constructions dans les villes, entre autres
Atika Jebrou : Menaces sanitaires de la prolifération des marécages et des décharges clandestines à Al Oulfa
El Mehdi El Fatemi : Quelles solutions à la problématique des enseignants suspendus ?
A la Chambre des représentants, la députée Majida Chahid, membre du Groupe socialiste-Opposition ittihadie, a adressé au ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances, chargé du budget, une question écrite au sujet des raisons derrière l’arrêt du soutien financier direct destiné à certaines familles résidant dans la province de Zagora.
La parlementaire ittihadie a souligné que nombre de familles de cette province ont été surprises au courant du mois sacré de Ramadan par l’arrêt injustifié du soutien direct qui leur est réservé, d’autant que les intéressés escomptaient que cela pouvait alléger le fardeau de la hausse des prix des denrées de première nécessité qui marque d’habitude le marché pendant le Ramadan.
Majida Chahid a indiqué, à cet égard, que plusieurs sit-in de protestation ont été organisés par les familles concernées devant les locaux des services provinciaux de l’agriculture et de l’administration locale de la CNSS afin de s’enquérir des conditions et des raisons qui ont justifié l’arrêt soudain dudit soutien direct, par ailleurs crucial dans cette conjoncture sociale particulière.
A cet effet, la députée parlementaire usfpéiste a interpellé, dans sa question écrite, le responsable gouvernemental sur les tenants et aboutissants de cette situation et sur les dispositions et mesures que son département pourraient prendre pour y remédier.
Pour sa part, la députée Atika Jebrou, également membre du groupe de l’Opposition ittihadie à la Chambre des représentants, a adressé au ministre de l’Intérieur une interrogation écrite se rapportant aux conséquences néfastes sur la santé publique engendrées par la prolifération des marais, marécages, bassins d’eau et des déchets et débris des matériaux de construction dans la zone d’Al Oulfa à Casablanca.
A ce propos, la parlementaire ittihadie a indiqué dans cette question écrite que ladite zone connaît une prolifération et une multiplication alarmante de points noirs nuisibles à la santé de la population, dont outre les marécages, des décharges clandestins constituées de déchets ménagers et d’ordures de toutes sortes dans différents points d’habitations et de rassemblements de la population.
Cette situation, ajoute Atika Jebrou, constitue, en tout état de cause, une véritable menace pour les habitants d’Al Oulfa, en particulier les enfants, en l’absence d’interventions urgentes et efficaces de la part des services d’hygiène et de salubrité publique.
En conséquence la membre du Groupe socialiste-Opposition ittihadie, s’est interrogée sur les mesures d’urgence prises ou préconisées pour mettre fin à ce désastre sanitaire inquiétant.
Par ailleurs, le député parlementaire, membre du Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des représentants, Moulay El Mehdi El Fatemi, a adressé, quant à lui, au ministre de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, une question écrite se rapportant à la problématique des enseignants suspendus à la suite de la vague de mouvements et manifestations du corps enseignant en protestation contre la teneur du nouveau statut, objet de la discorde entre les intéressés et ledit département.
A cet égard, ayant déploré que 203 enseignants suspendus vivent une situation matérielle et sociale incertaine du fait du retard enregistré quant au traitement de leur dossier par le département ministériel de l’éducation nationale, le député parlementaire ittihadi, El Fatemi, a relevé que les responsables compétents n’ont toujours pas tenu les réunions des commissions régionales convenues prévues pour l’examen des dossiers des intéressés, d’autant plus que les centrales syndicales, bien que tenant à la reprise du travail par les intéressés, n’ont toujours pas été avisées de la date du commencement des réunions à consacrer au solutionnement de ces dossiers revendicatifs.
Ainsi, le député parlementaire usfpéiste a réclamé dans sa question écrite une réponse claire et précise quant aux raisons qui justifieraient le retard enregistré au niveau du calendrier des réunions des commissions régionales supposées être dédiées à ce dossier épineux, de même que l’annonce des mesures préconisées par le département ministériel compétent afin de garantir les droits des intéressés…
H.T