-
Ils pensent avoir découvert un astéroïde… c’était la voiture Tesla envoyée dans l’espace par Elon Musk
-
Une influenceuse crée le chaos dans une station de ski italienne
-
Radja Nainggolan privé de liberté pour trafic de drogue
-
Il refuse de vendre sa maison et se retrouve encerclé par une autoroute
-
« Une odeur de chair en décomposition »… L’Australie se passionne pour cette fleur rare et puante
"On n’arrête pas de me parler de ce film, mais je l’ai complètement oublié. C’était une comédie romantique stupide." Richard Gere est visiblement excédé que les journalistes le questionnent à l'envi sur Pretty Woman, l’un des plus gros succès de l’histoire du box-office américain avec plus de 350 000 millions d’euros générés depuis sa sortie en 1990 (le magazine Forbes a par ailleurs récemment calculé que le couple qu’il a formé à l’écran avec Julia Roberts est le septième le plus rentable du cinéma avec 770 millions de dollars cumulés pour Pretty Woman et Just Married).
Richard en rajoute même une couche en faisant un rapprochement entre son personnage d’Edward Lewis (un golden boy de Wall Street) et la crise économique. "Le film montrait ces types (les traders) de manière très positive, une grosse erreur", explique Gere. Heureusement, aujourd’hui, on se méfie d’eux". Décidément, l’année 1990 ne restera pas impérissable dans la mémoire de celui qui fut récompensé par le golden globe du meilleur acteur pour sa prestation dans Chicago en 2002.
Au moment de la sortie de la comédie, Richard se mariait en grande pompe avec la mannequin Cindy Crawford, une décision qu’il regrette aussi. "J'ai épousé Cindy simplement parce que je ne voulais pas la perdre, confiait l'acteur engagé au tabloïd britannique Daily Mail en 2010. Mais notre mariage était loin d'être parfait. Rien ne se passait comme nous le voulions. Le mariage, ça signifie marcher dans la même direction. Moi je n'étais pas sûr de vouloir m'occuper de mon propre enfant." Aigri, Richard Gere?