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Le représentant de l’ONDE et de l’UNFM, Abdelkebir Tabih, a indiqué, dans une déclaration à la presse à l’issue de la réunion avec l’Instance, que cette rencontre a été l’occasion de présenter les propositions des deux institutions concernant les amendements à apporter au Code de la Famille.
Il a souligné que les propositions ont porté essentiellement sur les questions que l’ONDE et l’UNFM ont pu traiter eu égard à leur travail sur le terrain.
Le responsable a noté que l’accent a été mis sur les problématiques posées notamment par la garde, la pension alimentaire (nafaqa) et l’établissement de la filiation.
La tenue des séances d’écoute et d’audition par l'Instance chargée de la révision du Code de la famille intervient dans le cadre de la mise en œuvre de l’approche participative élargie à laquelle SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a appelé dans la Lettre Royale adressée au Chef du gouvernement.
Dans cette Lettre Royale, SM le Roi Mohammed VI a affirmé qu'il est nécessaire de réexaminer le Code de la famille, qui a eu l'immense avantage d’impulser une dynamique de changement vertueuse et d’instaurer une conception nouvelle de l’égalité et de l’équilibre familial, ouvrant ainsi la voie à une avancée sociale considérable, afin de corriger les dysfonctionnements et les lacunes que l’expérience de sa mise en œuvre judiciaire a révélés.
Le Souverain a souligné que les dispositions du Code de la famille "doivent également être mises en adéquation avec l'évolution de la société marocaine et les besoins du développement durable", notant que "la nouvelle version s’harmonisera ainsi avec la progression de notre législation nationale".