L’ouvrage "Manifestations de l'existence dans le cinéma et la philosophie" de l'écrivain marocain Mohamed Noureddine Afaya, édité par le Centre culturel du livre en 2022, figure sur la liste restreinte du Prix du livre Cheikh Zayed dans la catégorie « Arts et études critiques », avec deux autres ouvrages des écrivains tunisiens Jalila Tritar et Fakher Hakima.
Dans la liste restreinte de la catégorie "Littérature" figure la romancière égyptienne Reem Bassiouni, le poète et professeur universitaire irakien Ali Jaafar Al Alaq et l'écrivaine et journaliste libanaise Alaouia Sobh. La catégorie "Jeune auteur" inclut l’écrivaine irakienne Chahd Raoui, l’auteur égyptien Ahmed Lotfi et le romancier algérien Saâd Khatibi.
La catégorie "Jeune auteur" a réalisé le plus grand nombre de participations au prix cette année, avec 954 participations, soit 30% du nombre total des participations, alors que la catégorie "littérature" est classée deuxième avec 688 participations, soit 22%.
Quant à la branche "Arts et études critiques", elle a enregistré 286 participations, avec un taux d'augmentation d'environ 5% par rapport au nombre enregistré l'année dernière.
Le prix annoncera les listes restreintes pour les catégories restantes dans les semaines à venir.
Le Prix Cheikh Zayed du livre récompense les œuvres d’auteurs et de penseurs dans les domaines de la littérature, des arts et des sciences humaines en arabe et dans d'autres langues.
Dans la liste restreinte de la catégorie "Littérature" figure la romancière égyptienne Reem Bassiouni, le poète et professeur universitaire irakien Ali Jaafar Al Alaq et l'écrivaine et journaliste libanaise Alaouia Sobh. La catégorie "Jeune auteur" inclut l’écrivaine irakienne Chahd Raoui, l’auteur égyptien Ahmed Lotfi et le romancier algérien Saâd Khatibi.
La catégorie "Jeune auteur" a réalisé le plus grand nombre de participations au prix cette année, avec 954 participations, soit 30% du nombre total des participations, alors que la catégorie "littérature" est classée deuxième avec 688 participations, soit 22%.
Quant à la branche "Arts et études critiques", elle a enregistré 286 participations, avec un taux d'augmentation d'environ 5% par rapport au nombre enregistré l'année dernière.
Le prix annoncera les listes restreintes pour les catégories restantes dans les semaines à venir.
Le Prix Cheikh Zayed du livre récompense les œuvres d’auteurs et de penseurs dans les domaines de la littérature, des arts et des sciences humaines en arabe et dans d'autres langues.
Bouillon de culture
Robert Blake
Il avait joué un criminel glaçant dans l'adaptation de "De sang-froid", le chef-d'oeuvre de Truman Capote, avant d'être poursuivi dans la vraie vie puis acquitté pour le meurtre de sa femme: l'acteur Robert Blake est mort jeudi à 89 ans, selon la presse américaine.
Le comédien américain est décédé des suites d'une maladie cardiaque, selon le site spécialisé Deadline, qui a cité sa nièce. Connu comme le justicier de la série américaine "Baretta" dans les années 70, cet acteur caractériel, capable de se battre avec ses collègues, était précédé par sa réputation à Hollywood.
Sa carrière a été assombrie par le meurtre de sa femme, Bonny Lee Bakley, un crime pour lequel il a été poursuivi avant d'être innocenté.
Robert Blake a été accusé de lui avoir tiré le 4 mai 2001 une balle dans la tête, six mois après s'être marié avec elle, alors qu'elle était assise dans leur voiture près d'un restaurant d'Hollywood.
Au procès, l'accusation avait assuré que l'acteur "méprisait Bonny Lee Bakley" car "elle était tombée enceinte contre sa volonté et (...) elle avait refusé un avortement comme il le lui avait demandé".
Selon le parquet de l'époque, Robert Blake avait tenté de persuader deux cascadeurs ayant travaillé avec lui de tuer sa femme, avant qu'elle ne soit retrouvée morte.
L'acteur, qui avait consenti au mariage après que des tests de paternité eurent prouvé qu'il était le père d'une petite fille, a lui toujours clamé son innocence.
Au procès, il avait expliqué que sa femme avait été tuée lorsqu'il était retourné au restaurant pour prendre une arme qu'il avait accidentellement laissée derrière lui. Selon lui, il l'avait découverte à son retour à la voiture, saignant abondamment d'une blessure par balle à la tête et à l'épaule.
Il avait joué un criminel glaçant dans l'adaptation de "De sang-froid", le chef-d'oeuvre de Truman Capote, avant d'être poursuivi dans la vraie vie puis acquitté pour le meurtre de sa femme: l'acteur Robert Blake est mort jeudi à 89 ans, selon la presse américaine.
Le comédien américain est décédé des suites d'une maladie cardiaque, selon le site spécialisé Deadline, qui a cité sa nièce. Connu comme le justicier de la série américaine "Baretta" dans les années 70, cet acteur caractériel, capable de se battre avec ses collègues, était précédé par sa réputation à Hollywood.
Sa carrière a été assombrie par le meurtre de sa femme, Bonny Lee Bakley, un crime pour lequel il a été poursuivi avant d'être innocenté.
Robert Blake a été accusé de lui avoir tiré le 4 mai 2001 une balle dans la tête, six mois après s'être marié avec elle, alors qu'elle était assise dans leur voiture près d'un restaurant d'Hollywood.
Au procès, l'accusation avait assuré que l'acteur "méprisait Bonny Lee Bakley" car "elle était tombée enceinte contre sa volonté et (...) elle avait refusé un avortement comme il le lui avait demandé".
Selon le parquet de l'époque, Robert Blake avait tenté de persuader deux cascadeurs ayant travaillé avec lui de tuer sa femme, avant qu'elle ne soit retrouvée morte.
L'acteur, qui avait consenti au mariage après que des tests de paternité eurent prouvé qu'il était le père d'une petite fille, a lui toujours clamé son innocence.
Au procès, il avait expliqué que sa femme avait été tuée lorsqu'il était retourné au restaurant pour prendre une arme qu'il avait accidentellement laissée derrière lui. Selon lui, il l'avait découverte à son retour à la voiture, saignant abondamment d'une blessure par balle à la tête et à l'épaule.