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Le poète marocain Mohamed Aniba Al Hamri est décédé mercredi à Casablanca à l'âge de 78 ans, a annoncé la Maison de la poésie au Maroc.
Le défunt était l'une des figures "lumineuses" de la poésie marocaine, qui a été toujours fidèle à la poésie et à l'esprit de l'écriture créative", et ce, depuis la parution de son premier recueil "L'amour, la farce des siècles" en 1968, a indiqué la Maison de la poésie dans un communiqué.
Mohamed Aniba Al Hamri a marqué de son empreinte la scène poétique nationale par la publication de plusieurs recueils, dont "Le Désir de naviguer" (1973), "Epitaphe pour les crucifiés" (1977), "La Maladie des amants" (1987), "Frissons du lieu" (1996), "Le Goût de ce blanc" (2000) et "Tartaoui Banjiaê Alqassid" (2019), qui lui a valu le Prix du Maroc du livre 2020, catégorie poésie. Il est également l'auteur de plusieurs études critiques et littéraires importantes.
Natif de Casablanca en 1946, le défunt a obtenu une licence en lettres en 1969 de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Fès, suivie d'un certificat d'aptitude pédagogique de l'Ecole normale supérieure de Rabat, et d'un diplôme d'études approfondies en décembre 1976. Il a exercé dans le secteur de l'éducation nationale jusqu'à sa retraite.
Le défunt était l'une des figures "lumineuses" de la poésie marocaine, qui a été toujours fidèle à la poésie et à l'esprit de l'écriture créative", et ce, depuis la parution de son premier recueil "L'amour, la farce des siècles" en 1968, a indiqué la Maison de la poésie dans un communiqué.
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Natif de Casablanca en 1946, le défunt a obtenu une licence en lettres en 1969 de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Fès, suivie d'un certificat d'aptitude pédagogique de l'Ecole normale supérieure de Rabat, et d'un diplôme d'études approfondies en décembre 1976. Il a exercé dans le secteur de l'éducation nationale jusqu'à sa retraite.