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Dans un rapport publié en avril dernier («Est-ce que le contact avec des extraterrestres serait bénéfique ou mauvais pour l’humanité? Analyse des différents scénarios»), des chercheurs de la NASA, de l’université de Pennsylvanie, expliquent que si des petits «aliens verts» observaient en ce moment les changements dans l’atmosphère terrestre et la quantité de CO2 que nous émettons, ils se diraient que nous avons perdu le contrôle et que nous constituons une menace pour d’autres civilisations.
Dans ce rapport, ils distinguent trois types de «prise de contact» avec d’éventuels extraterrestres. D’abord, une prise de contact bénéfique, dans la mesure où la découverte d’une vie extraterrestre marquerait le début d’une grande coopération interplanétaire et accélérerait la marche du progrès.
Ils envisagent aussi une «prise de contact» neutre: les extraterrestres sont trop différents de nous, aucune communication n’est possible et par conséquent aucune coopération ne se met en place.
Enfin, la troisième prise de contact possible serait mauvaise pour l’humanité. Outre le fait que les extraterrestres peuvent vouloir nous manger, ou encore nous transformer en esclaves, le rapport souligne qu’ils peuvent aussi nous transmettre involontairement des maladies, ou pratiquer des expériences physiques qui rendent notre galaxie inhabitable.
Les auteurs avancent même que l’humanité pourrait constituer une menace, et que dans le scénario le plus extrême, les extraterrestres décideraient alors d’en finir avec «les humains»:
«Une attaque préventive est très probable dans les premières phases de notre expansion parce que notre civilisation va devenir de plus en plus dure à détruire. L’humanité peut maintenant entrer dans une phase de rapide expansion facilement détectable par des extraterrestres, car notre développement modifie la composition de l’atmosphère».
Ainsi, selon les auteurs du rapport, il est essentiel de «limiter notre croissance et de réduire notre impact sur les écosystèmes». Ils notent aussi qu'il est assez imprudent d'envoyer plein de messages contenant des informations sur notre constitution biologique dans l'univers avec l'espoir d'obtenir une réponse: il faudrait se contenter d'envoyer des codes mathématiques «avant d'avoir une meilleure idée du genre d'extraterrestres auquel on devra faire face».
Néanmoins, comme le rappelle l'article de Discovery News, il faut bien garder à l'esprit que cette typologie des «prises de contact» est très anthropocentrique et que toute étude sur les extraterrestres ne peut reposer pour l'instant que sur des expériences humaines.