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Ils ont constaté une augmentation de 15% du nombre de morts par infarctus chez les hommes après la défaite de leur équipe.
Cette augmentation est plus importante chez les femmes (+27%) sans que les chercheurs ne savent précisément déterminer si elles sont, elles aussi, de ferventes supportrices déçues ou pâtissent de l'ambiance à la maison après une défaite.
"Le Superbowl peut provoquer une réponse émotionnelle similaire chez les hommes et les femmes ou alors peut-être que la réaction d'un homme à la défaite au Superbowl a une incidence sur l'état émotionnel de sa partenaire”, hasardent les auteurs de l'étude.
En revanche, les femmes s'en sortent mieux que les hommes après une victoire. “Pour les femmes, et non les hommes, il y a eu une réduction du nombre global de décès et de morts par crise cardiaque associés à une victoire au Superbowl”, ajoutent-ils.
“Médecins et patients doivent être conscients que les matches stressants peuvent induire une réponse émotionnelle susceptible de provoquer un problème cardiaque”, affirme Robert Kloner, principal auteur de l'étude.
De précédentes études ont constaté une augmentation des syndromes coronariens aigus et des arythmies cardiaques en Europe lors de la Coupe du monde 2006 de football, touchant toutefois plus les hommes que les femmes.
La 45e édition du Superbowl opposera le 6 février les Steelers de Pittsburgh aux Packers de Green Bay à Dallas (Texas).