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Sous le titre « Ni guerre au Sahara ni référendum… Abyssal est l’isolement de l’Algérie », le chroniqueur rappelle que les parties hostiles au Maroc n’ont de cesse de faire des structures de l’institution internationale, telles que le Comité spécial des vingt-quatre et la 4ème Commission, des plateformes d’une propagation mystificatrice des principes généraux fondateurs de cette instance internationale et en ont usé comme porte-voix de leurs prétentions incohérentes relatives à « l’autodétermination » (à sens unique), selon une seule et unique interprétation au service de leur agenda, préméditant délibérément une mystification éhontée des vérités et une interprétation tout aussi anachronique des résolutions internationales dont les arrêts de la CIJ et le concept de l’autodétermination qui ne signifie en fait que le référendum.
« En prenant en compte ce volet, la résolution de la 4ème Commission consistant à enterrer le référendum est considérée comme l’enterrement de toute la thèse que nourrit l’Algérie », conclut Jmahri, en développant que cette Commission qui a sanctionné ses travaux par des résolutions et recommandations qu’elle a soumises à l’Assemblée générale dans l’intégralité de ses instances est, en tout état de cause, une Commission qui a foncièrement changé ses convictions ces derniers temps, de même qu’elle nous présente les prémices de l’ambiance dans laquelle se déroulera la réunion annuelle autour du Sahara prévue le mois courant.
De ce fait, elle aurait rompu tout lien avec la thèse et les manœuvres propagandistes algériennes, a-t-il conclu en attestant que Omar Hilale a été fort pertinent en dévoilant les manœuvres polémiques sur lesquelles s’appuyent la thèse et la chimère du pouvoir algérien dirigées contre le Maroc.
En fait, l’on s’attend désormais au retrait définitif de ce dossier de ladite Commission pour demeurer exclusivement entre les mains du Conseil de sécurité, souligne le directeur de la publication d’«Al Ittihad Al Ichtiraki».
Mettant en exergue que le plaidoyer du Maroc exaspère davantage l’isolement du régime algérien et compagnie) au regard du monde concernant l’engagement supposé à l’égard des résolutions des Nations unies en la matière, Jmahri fait observer que l’on ne peut rejeter particulièrement certaines résolutions internationales et n’en retenir d’une manière pernicieuse que celles qui servent leurs prétentions fallacieuses.
Et de conclure que le régime algérien, en s’entêtant dans sa démarche contre-courant, contre la dynamique dominante se rangeant quasi unanimement derrière la résolution politique, s’oppose à la volonté internationale qui consacre d’ores et déjà l’initiative marocaine d’autonomie comme seule et unique solution à ce conflit artificiel, d’où la caducité établie de concepts tels que le référendum ou le séparatisme.
Là-dessus, enchaîne Abdelhamid Jmahri, la réfutation de tout signe d’affrontement armé après que les Algériens et leurs pantins ont déclaré rompre le cessez-le-feu, induit l’absence de conditions permettant le retour aux débuts des conflits dans la logique internationale…
Par conséquent, d’après le directeur de la publication d’«Al Ittihad Al Ichtiraki», les résolutions du Conseil de sécurité, notamment les dernières, à savoir 2602 et 2654, tendent clairement et définitivement vers la solution politique consensuelle et exigent la présence de l’Algérie en tant que partie concernée aux tables rondes politiques, à défaut de quoi (son refus d’y prendre part) approfondira davantage son isolement et sa mise à l’écart de tous les débats de la communauté internationale sur cette question.
Ainsi, déduit Jmahri, ce dossier s’achemine clairement vers une résolution définitive (en présence ou en l’absence de la partie algérienne) (…)