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Le Théâtre national Mohammed V de Rabat a accueilli, lundi, le nouveau spectacle de Nabyl Lahlou, intitulé "Nabyl Lahlou raconte Nabyl Lahlou", une ode à la vie et à la création.
Le réalisateur marocain, auteur de nombreuses œuvres au court de sa longue carrière, dont "Ophélie n'est pas morte" (1969), "Asseyez-vous sur les cadavres" (1975) et "Komany" (1989) s'est illustré une nouvelle fois, du haut de ses 79 ans, avec cette nouvelle pièce théâtrale où le dramaturge retrace les différentes étapes de sa vie.
La pièce, une production de la compagnie de théâtre Nabyl Lahlou, de Maria Kenzi Lahlou et Reda Zniber, plonge profondément dans la mémoire personnelle, explorant des souvenirs liés à l’enfance, la famille et des moments marquants de la vie de Nabyl Lahlou, qui sert de narrateur à sa propre existence.
Au fil du récit, le texte se transforme en critique sociale, où le réalisateur témoigne de son sentiment d'injustice et d'impuissance à travers anecdotes et métaphores retraçant sa jeunesse au sein de la ville de Fès.
La pièce, adopte une structure narrative poétique, combinant souvenirs de la vie quotidienne et réflexions philosophiques et politiques.
Dans une déclaration à la MAP, Nabyl Lahlou a livré un témoignage empreint de gratitude et de regret, rappelant ses six décennies d'engagement pour le théâtre marocain.
"J'ai consacré 60 ans à faire émerger un théâtre digne du public marocain", a-t-il déclaré, tout en affirmant ne pas avoir encore réalisé une œuvre théâtrale dont il puisse être "pleinement fier".
Le metteur en scène marocain a souligné les défis auxquels il a dû faire face tout au long de sa carrière, évoquant notamment le manque de ressources financières qui a entravé ses ambitions. "Je n'ai jamais eu les moyens à la hauteur de ce que j'espérais", a-t-il confié, tout en insistant sur le fait que ces obstacles ne l'ont pas empêché de tracer sa voie avec passion.
Nabyl Lahlou a également profité de l’occasion pour évoquer l’importance de l'héritage dans le domaine artistique. Il a salué les nombreuses personnes qui ont marqué son parcours, qu’il s’agisse de collaborateurs ou de figures inspirantes, avant d'ajouter que la culture et le théâtre sont des leviers essentiels pour façonner une société consciente et ambitieuse.
Le réalisateur marocain, auteur de nombreuses œuvres au court de sa longue carrière, dont "Ophélie n'est pas morte" (1969), "Asseyez-vous sur les cadavres" (1975) et "Komany" (1989) s'est illustré une nouvelle fois, du haut de ses 79 ans, avec cette nouvelle pièce théâtrale où le dramaturge retrace les différentes étapes de sa vie.
La pièce, une production de la compagnie de théâtre Nabyl Lahlou, de Maria Kenzi Lahlou et Reda Zniber, plonge profondément dans la mémoire personnelle, explorant des souvenirs liés à l’enfance, la famille et des moments marquants de la vie de Nabyl Lahlou, qui sert de narrateur à sa propre existence.
Au fil du récit, le texte se transforme en critique sociale, où le réalisateur témoigne de son sentiment d'injustice et d'impuissance à travers anecdotes et métaphores retraçant sa jeunesse au sein de la ville de Fès.
La pièce, adopte une structure narrative poétique, combinant souvenirs de la vie quotidienne et réflexions philosophiques et politiques.
Dans une déclaration à la MAP, Nabyl Lahlou a livré un témoignage empreint de gratitude et de regret, rappelant ses six décennies d'engagement pour le théâtre marocain.
"J'ai consacré 60 ans à faire émerger un théâtre digne du public marocain", a-t-il déclaré, tout en affirmant ne pas avoir encore réalisé une œuvre théâtrale dont il puisse être "pleinement fier".
Le metteur en scène marocain a souligné les défis auxquels il a dû faire face tout au long de sa carrière, évoquant notamment le manque de ressources financières qui a entravé ses ambitions. "Je n'ai jamais eu les moyens à la hauteur de ce que j'espérais", a-t-il confié, tout en insistant sur le fait que ces obstacles ne l'ont pas empêché de tracer sa voie avec passion.
Nabyl Lahlou a également profité de l’occasion pour évoquer l’importance de l'héritage dans le domaine artistique. Il a salué les nombreuses personnes qui ont marqué son parcours, qu’il s’agisse de collaborateurs ou de figures inspirantes, avant d'ajouter que la culture et le théâtre sont des leviers essentiels pour façonner une société consciente et ambitieuse.