Le groupe chinois "Les Harmoniques du ciel", à la musique aux multiples nuances, s'est produit, mercredi au jardin historique de Jnan Sbil, dans le cadre du 27ème Festival de Fès des musiques sacrées du monde, devant un public qui en a pris plein les yeux et les oreilles.
Le public présent a découvert, ainsi, la musique du dio Wang Li et Wu Wei, tous deux originaires de Chine, d'autant plus qu'ils sont de véritables défricheurs de nouvelles contrées musicales, et cherchent à inscrire leurs instruments millénaires (guimbardes et flûte à calebasse/orgue à bouche Sheng) dans le XXIe siècle, en prolongeant leurs racines par un souffle contemporain.
Pour ce faire, les deux musiciens extraient des sonorités futuristes, en utilisant des techniques de jeu et d'improvisation d’avant-garde.
C'est Wu Wei, issu de la province du Jiangsu au Sud-est de la Chine, qui a ouvert le bal, lui qui a appris le violon chinois à l’âge de cinq ans, puis l’orgue à bouche (sheng) à l’âge de 15 ans avant de devenir soliste de l’Orchestre de musique classique chinoise de Shanghai.
Son binôme Wang Li l'a rejoint quelques minutes plus tard sur scène en donnant le ton à ce concert original de par ses instruments et les sons qu'ils dégagent. Originaire de Tsinghao, un port des rives de la mer Jaune, au Nord-est de la Chine, ce musicien passionné a fait parler son instrument musical au grand bonheur de l'assistance à la quête de nouvelles découvertes.
Dans une déclaration à la MAP, Wang Li a indiqué qu'il est à sa deuxième participation au Festival de Fès des musiques sacrées du monde, ajoutant que ce retour s'explique par "son amour" au Maroc.
Dans leur création, «Les Harmoniques du Ciel» font vibrer leur souffle en harmonie, et explorent ensemble leurs visions poétiques comme deux peintres musiciens. Mélodique et inspirée, leur musique décline les nuances multiples dont leurs instruments sont capables, au cœur d’un paysage sonore insolite.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival se tient du 24 mai au 1er juin prochain sous le thème "La Quête de l'Esprit Al-Andalus".
Lors de cette édition, l’Espagne a été choisie comme invité d'honneur pour célébrer les liens historiques et présents qui unissent l’Espagne et le Maroc.
La 27ème édition de ce festival, moment privilégié de l'esprit de vivre- ensemble, de dialogue et de tolérance, est marquée par une programmation musicale rassemblant plusieurs artistes et troupes des deux pays qui exprimeront à travers leurs fusions et leurs spectacles cette dimension particulière d’ouverture, d’harmonie et de vivre-ensemble pour un futur meilleur.
Ce rendez-vous incontournable, qui fait désormais partie des plus grandes manifestations culturelles dans le monde, prévoit de même la participation d'artistes représentant plusieurs pays.
Il s’agit, entre autres, de la chanteuse d’origine syrienne Naïssam Jalal, Nedyalko Nedyalkov Quartet (Bulgarie), Khadija El Afrit (Tunisie), Walid Benselim, Young Musicians european orchestra, et Madalena (chœur féminin), outre des nuits soufies.
Le public présent a découvert, ainsi, la musique du dio Wang Li et Wu Wei, tous deux originaires de Chine, d'autant plus qu'ils sont de véritables défricheurs de nouvelles contrées musicales, et cherchent à inscrire leurs instruments millénaires (guimbardes et flûte à calebasse/orgue à bouche Sheng) dans le XXIe siècle, en prolongeant leurs racines par un souffle contemporain.
Pour ce faire, les deux musiciens extraient des sonorités futuristes, en utilisant des techniques de jeu et d'improvisation d’avant-garde.
C'est Wu Wei, issu de la province du Jiangsu au Sud-est de la Chine, qui a ouvert le bal, lui qui a appris le violon chinois à l’âge de cinq ans, puis l’orgue à bouche (sheng) à l’âge de 15 ans avant de devenir soliste de l’Orchestre de musique classique chinoise de Shanghai.
Son binôme Wang Li l'a rejoint quelques minutes plus tard sur scène en donnant le ton à ce concert original de par ses instruments et les sons qu'ils dégagent. Originaire de Tsinghao, un port des rives de la mer Jaune, au Nord-est de la Chine, ce musicien passionné a fait parler son instrument musical au grand bonheur de l'assistance à la quête de nouvelles découvertes.
Dans une déclaration à la MAP, Wang Li a indiqué qu'il est à sa deuxième participation au Festival de Fès des musiques sacrées du monde, ajoutant que ce retour s'explique par "son amour" au Maroc.
Dans leur création, «Les Harmoniques du Ciel» font vibrer leur souffle en harmonie, et explorent ensemble leurs visions poétiques comme deux peintres musiciens. Mélodique et inspirée, leur musique décline les nuances multiples dont leurs instruments sont capables, au cœur d’un paysage sonore insolite.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival se tient du 24 mai au 1er juin prochain sous le thème "La Quête de l'Esprit Al-Andalus".
Lors de cette édition, l’Espagne a été choisie comme invité d'honneur pour célébrer les liens historiques et présents qui unissent l’Espagne et le Maroc.
La 27ème édition de ce festival, moment privilégié de l'esprit de vivre- ensemble, de dialogue et de tolérance, est marquée par une programmation musicale rassemblant plusieurs artistes et troupes des deux pays qui exprimeront à travers leurs fusions et leurs spectacles cette dimension particulière d’ouverture, d’harmonie et de vivre-ensemble pour un futur meilleur.
Ce rendez-vous incontournable, qui fait désormais partie des plus grandes manifestations culturelles dans le monde, prévoit de même la participation d'artistes représentant plusieurs pays.
Il s’agit, entre autres, de la chanteuse d’origine syrienne Naïssam Jalal, Nedyalko Nedyalkov Quartet (Bulgarie), Khadija El Afrit (Tunisie), Walid Benselim, Young Musicians european orchestra, et Madalena (chœur féminin), outre des nuits soufies.