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A quelques jours de la célébration de la Journée du vivre-ensemble proclamée par l’ONU le 16 Mai, il serait utile de s’interroger sur l’orientation religieuse, culturelle et politique du journal ‘’Le Matin d’Algérie ‘’ fondé par le pseudo-journaliste Mohamed Benchicou. Ce dernier est-il un médiocre autodidacte ou un porteur de diplôme ? Pour qui roule Mohamed Benchicou ? Le directeur du journal Benchicou appartient-il à un des clans du régime politique algérien ? Son parrain lui a-t-il donné des ordres, pour ménager les ministres en charge de la diplomatie algérienne ? Pourquoi ne commente-t-il pas la nullité de la diplomatie algérienne ?
Il n’est guère surprenant que le quotidien algérien Le Matin fut suspendu en 2004, vu le niveau intellectuel médiocre de son fondateur Mohamed Benchicou. Depuis 2004, le redressement intellectuel de ce ’’ journaliste’’ est en cours. Il a une manière d’informer qui manifestement tient le débat contradictoire pour quantité négligeable. Un faux journaliste qui prétend relayer toutes les opinions. Dans le cadre de ce régime politique, un journaliste algérien a le choix entre se soumettre ou être au chômage. Le journal ‘’Le Matin d’Algérie ‘’ peine à critiquer la politique étrangère de l’Algérie et n’ose pas nommer tous les responsables du régime politique, préférant offrir un espace aux adversaires de l’islam et de l’arabité.
Des signatures mises au service d’une propagande abrutissante : aucune analyse sérieuse sur la médiocrité de la diplomatie algérienne, absence d’étude politique de la région ; la promotion d’écrivains pignoufs islamophobes est plus rentable que la publication d’analyses diplomatiques. La liberté d’expression est totale sauf quand elle porte atteinte à des principes. Il n’y a pas une mais plusieurs oppositions au régime politique algérien. Aucun journaliste aussi talentueux soit-il ne peut rédiger une analyse sur la diplomatie algérienne, le jour même d’une déclaration prononcée par un ministre, car il y a un temps médiatique et un temps pour l’analyse. Toute analyse se construit .Un texte doit forcément être relu et retravaillé plusieurs fois avant d'être publié, et ceci demande du temps.
Alors que la situation dans les pays voisins (Libye et Mali notamment) devrait interpeller Benchicou, ce dernier a choisi de déléguer le traitement de l’actualité à des pseudo-contributeurs (toujours les mêmes), d’un certain âge pour la plupart, car le racisme le plus insidieux qui règne au sein du journalisme en Algérie est celui de l’âge. De plus, le fondateur du journal a recours à la critique sélective en prétextant que le sujet sur l’ineptie de la diplomatie algérienne est périmée, au gré de ses fantasmes. Mohamed Benchicou devrait effectuer des stages (il n’y a pas d’âge pour apprendre) à la Fédération internationale des journalistes (FIJ). Je préconise au fondateur du ‘’Matin d’Algérie ‘’ la lecture de la déclaration sur les devoirs et droits des journalistes de 1971. ‘’Le Matin d’Algérie’’ est un journal incompatible avec les valeurs, péremptoire dans une idéologie sectaire. Le directeur du journal essaye continuellement d’organiser un traquenard pour que cela se joue contre les Arabes et les musulmans. Ce journal n’est pas destiné à savoir ce que le peuple pense, mais à faire ‘’la preuve’’ que le pays est pareil à son journal .Un journal de caniveau qui doit être traité comme un journal de caniveau et non comme un journal d’idées sérieuses.
Contrairement à ce qu’il dit, Benchicou n’est pas un opposant au régime politique algérien mais un opposant au chef de l’Etat. C’est l’opposant le moins crédible et le moins intellectuellement redoutable, qui montre son mépris vis-à-vis du Sahel .Son journal dénote une bassesse, car la remise en cause de l’identité culturelle d’une partie du peuple est plus attrayante et demande moins d’efforts intellectuels que la publication d’analyses sur l’avenir des relations entre le pays et le G5 Sahel. C’est à se demander si le mot G5 Sahel est un gros mot et l’échec de la diplomatie algérienne un sujet tabou.
La déclaration sur la déclaration des devoirs et des droits des journalistes de 1971 mentionne que le devoir du journaliste dans la recherche des événements est de s’interdire ‘’la calomnie, la diffamation ‘’. Sous couvert de défendre la liberté d’opinion, son journal promeut (l’islam bashing= dénigrer l’islam en langue anglaise) et (l’arabe bashing =dénigrer l’arabe en langue anglaise). N’en déplaise à ce ‘’journaliste’’, la langue arabe a un alphabet et la civilisation musulmane dont ses promoteurs ont suivi des chemins qui les ont guidés jusque dans les montagnes les plus inaccessibles au Maghreb, une civilisation qui continue de rayonner. Pour reprendre le titre d’une livre. « Le Soleil d’Allah brille » sur le Maghreb.
Comment ce journal ose-t-il publier des propos qui portent atteinte à la civilisation musulmane ? Des tribunes dressées comme un ultimatum lancé et publié par ce pseudo-journaliste qui n’a pas de leçon à donner en termes d’islam et d’arabité. Ce journal a pour but d’alimenter une islamophobie et de désigner aux yeux de l’opinion publique un adversaire commun : l’islam. La virulence de certaines contributions et la stigmatisation de l’islam, des musulmans et des Arabes. Des textes maladroits, des mots provocants, un procès fait à l’islam. Ce journal tente de transformer la religion et la langue arabe en un conflit identitaire.
Ce ‘’journaliste’’ s’accroche à un communautarisme, parce qu’il a perdu sa préemption sur la vie intellectuelle et politique. Il est dégradant que ce directeur accorde une tribune à des complexés identitaires qui éprouvent un plaisir immense à critiquer l’islam et l’arabité. De plus, il y a dans ce journal des éléments qui relèvent d’un analphabétisme spirituel et politique incroyable. Il est important de rappeler à ce directeur du journal , qui est en rupture avec la culture , la résolution 7/19 intitulée ‘’La lutte contre la diffamation des religions’’ adoptée par le Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies (ONU) en 2008 qui mentionne que le conseil des droits de l’Homme ‘’déplore l’utilisation de la presse écrite, des médias audiovisuels et électroniques, y compris l’Internet, et de tout autre moyen afin d’inciter à des actes de violence, à la xénophobie ou à l’intolérance qui y est associée, et à la discrimination à l’égard de l’islam ou de toute religion ‘’.
Tel un oiseau migrateur, ce ‘’journaliste’’ a un pied en Algérie et un autre en France. Un journal qui efface les sigles et les acronymes d’organisations régionales telles que l’Union du Maghreb Arabe (UMA), alors que le directeur du «Matin d’Algérie» se dit légaliste. Ce journaliste qui se dit épris de démocratie pour les peuples d’Afrique du Nord. Benchicou est-il journaliste ou officier d’état civil des habitants d’Afrique du Nord ? Quel est l’objectif du journal, que l'appel à la prière doit être récité dans une langue autre que l’arabe, en Algérie ? Le directeur du journal a-t-il dressé l’arbre généalogique de tous les Algériens ? Ce folliculaire s’acoquine avec le régime politique algérien et trempe sa plume dans le fiel dans son ignominieux journal.
* Géographe
Il n’est guère surprenant que le quotidien algérien Le Matin fut suspendu en 2004, vu le niveau intellectuel médiocre de son fondateur Mohamed Benchicou. Depuis 2004, le redressement intellectuel de ce ’’ journaliste’’ est en cours. Il a une manière d’informer qui manifestement tient le débat contradictoire pour quantité négligeable. Un faux journaliste qui prétend relayer toutes les opinions. Dans le cadre de ce régime politique, un journaliste algérien a le choix entre se soumettre ou être au chômage. Le journal ‘’Le Matin d’Algérie ‘’ peine à critiquer la politique étrangère de l’Algérie et n’ose pas nommer tous les responsables du régime politique, préférant offrir un espace aux adversaires de l’islam et de l’arabité.
Des signatures mises au service d’une propagande abrutissante : aucune analyse sérieuse sur la médiocrité de la diplomatie algérienne, absence d’étude politique de la région ; la promotion d’écrivains pignoufs islamophobes est plus rentable que la publication d’analyses diplomatiques. La liberté d’expression est totale sauf quand elle porte atteinte à des principes. Il n’y a pas une mais plusieurs oppositions au régime politique algérien. Aucun journaliste aussi talentueux soit-il ne peut rédiger une analyse sur la diplomatie algérienne, le jour même d’une déclaration prononcée par un ministre, car il y a un temps médiatique et un temps pour l’analyse. Toute analyse se construit .Un texte doit forcément être relu et retravaillé plusieurs fois avant d'être publié, et ceci demande du temps.
Alors que la situation dans les pays voisins (Libye et Mali notamment) devrait interpeller Benchicou, ce dernier a choisi de déléguer le traitement de l’actualité à des pseudo-contributeurs (toujours les mêmes), d’un certain âge pour la plupart, car le racisme le plus insidieux qui règne au sein du journalisme en Algérie est celui de l’âge. De plus, le fondateur du journal a recours à la critique sélective en prétextant que le sujet sur l’ineptie de la diplomatie algérienne est périmée, au gré de ses fantasmes. Mohamed Benchicou devrait effectuer des stages (il n’y a pas d’âge pour apprendre) à la Fédération internationale des journalistes (FIJ). Je préconise au fondateur du ‘’Matin d’Algérie ‘’ la lecture de la déclaration sur les devoirs et droits des journalistes de 1971. ‘’Le Matin d’Algérie’’ est un journal incompatible avec les valeurs, péremptoire dans une idéologie sectaire. Le directeur du journal essaye continuellement d’organiser un traquenard pour que cela se joue contre les Arabes et les musulmans. Ce journal n’est pas destiné à savoir ce que le peuple pense, mais à faire ‘’la preuve’’ que le pays est pareil à son journal .Un journal de caniveau qui doit être traité comme un journal de caniveau et non comme un journal d’idées sérieuses.
Contrairement à ce qu’il dit, Benchicou n’est pas un opposant au régime politique algérien mais un opposant au chef de l’Etat. C’est l’opposant le moins crédible et le moins intellectuellement redoutable, qui montre son mépris vis-à-vis du Sahel .Son journal dénote une bassesse, car la remise en cause de l’identité culturelle d’une partie du peuple est plus attrayante et demande moins d’efforts intellectuels que la publication d’analyses sur l’avenir des relations entre le pays et le G5 Sahel. C’est à se demander si le mot G5 Sahel est un gros mot et l’échec de la diplomatie algérienne un sujet tabou.
La déclaration sur la déclaration des devoirs et des droits des journalistes de 1971 mentionne que le devoir du journaliste dans la recherche des événements est de s’interdire ‘’la calomnie, la diffamation ‘’. Sous couvert de défendre la liberté d’opinion, son journal promeut (l’islam bashing= dénigrer l’islam en langue anglaise) et (l’arabe bashing =dénigrer l’arabe en langue anglaise). N’en déplaise à ce ‘’journaliste’’, la langue arabe a un alphabet et la civilisation musulmane dont ses promoteurs ont suivi des chemins qui les ont guidés jusque dans les montagnes les plus inaccessibles au Maghreb, une civilisation qui continue de rayonner. Pour reprendre le titre d’une livre. « Le Soleil d’Allah brille » sur le Maghreb.
Comment ce journal ose-t-il publier des propos qui portent atteinte à la civilisation musulmane ? Des tribunes dressées comme un ultimatum lancé et publié par ce pseudo-journaliste qui n’a pas de leçon à donner en termes d’islam et d’arabité. Ce journal a pour but d’alimenter une islamophobie et de désigner aux yeux de l’opinion publique un adversaire commun : l’islam. La virulence de certaines contributions et la stigmatisation de l’islam, des musulmans et des Arabes. Des textes maladroits, des mots provocants, un procès fait à l’islam. Ce journal tente de transformer la religion et la langue arabe en un conflit identitaire.
Ce ‘’journaliste’’ s’accroche à un communautarisme, parce qu’il a perdu sa préemption sur la vie intellectuelle et politique. Il est dégradant que ce directeur accorde une tribune à des complexés identitaires qui éprouvent un plaisir immense à critiquer l’islam et l’arabité. De plus, il y a dans ce journal des éléments qui relèvent d’un analphabétisme spirituel et politique incroyable. Il est important de rappeler à ce directeur du journal , qui est en rupture avec la culture , la résolution 7/19 intitulée ‘’La lutte contre la diffamation des religions’’ adoptée par le Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies (ONU) en 2008 qui mentionne que le conseil des droits de l’Homme ‘’déplore l’utilisation de la presse écrite, des médias audiovisuels et électroniques, y compris l’Internet, et de tout autre moyen afin d’inciter à des actes de violence, à la xénophobie ou à l’intolérance qui y est associée, et à la discrimination à l’égard de l’islam ou de toute religion ‘’.
Tel un oiseau migrateur, ce ‘’journaliste’’ a un pied en Algérie et un autre en France. Un journal qui efface les sigles et les acronymes d’organisations régionales telles que l’Union du Maghreb Arabe (UMA), alors que le directeur du «Matin d’Algérie» se dit légaliste. Ce journaliste qui se dit épris de démocratie pour les peuples d’Afrique du Nord. Benchicou est-il journaliste ou officier d’état civil des habitants d’Afrique du Nord ? Quel est l’objectif du journal, que l'appel à la prière doit être récité dans une langue autre que l’arabe, en Algérie ? Le directeur du journal a-t-il dressé l’arbre généalogique de tous les Algériens ? Ce folliculaire s’acoquine avec le régime politique algérien et trempe sa plume dans le fiel dans son ignominieux journal.
* Géographe