-
La Lune prend un petit coup de vieux
-
En Californie, des écureuils assoiffés de sang
-
Des requins léopards inséminés en Australie pour préserver la diversité
-
Des chercheurs japonais travaillent sur un médicament faisant repousser les dents
-
Taux d'homicide largement plus élevé en Amazonie que dans le reste du Brésil
En France, depuis sa mort 670 000 albums originaux et compilations, 275 000 téléchargements légaux et 170 000 Dvd de Michael Jackson se sont vendus, soit plus d’un million de copies. La palme revient à Thriller et ses hits comme Billie Jean, Bit it ou Thriller.
Sorti en 1982 cet enregistrement totalise les 220 000 ventes (cd et téléchargements) depuis un peu plus d’un mois. Un résultat surprenant au regard du marché du disque morose et à la période estivale, généralement creuse.
Et ce n’est pas fini. Selon le Nouvel OBS, AEG Live, promoteur de la série de concerts que devaient donner la star, est en train de faire fructifier les images des répétitions de ce spectacle. Selon la même source, il existerait « plus de 100 heures d’images, tournées en haute définition ». Sans oublier les chansons inédites que l’on commence à entendre sur le net…
La ferveur des fans ne tarit pas
«Sa musique vivra à jamais», proclame le « site musique officiel de Michael Jackson » (Michaeljackson.com), qui consacre désormais une section spéciale aux « hommages on line » qui se sont multipliés sur la Toile depuis la mort de la star. Cet autre, Mjfanclub.net, propose un soutien en ligne à ceux qui n’ont « personne pour parler et se sentent seuls » afin qu’ils partagent leur tristesse. Plus de cinq semaines après le décès du roi de la pop, l’élan des fans, qui avait jailli dans le monde entier, ne s’est pas tari. Aux Etats-Unis, il se poursuit d’abord autour des lieux où le chanteur vivait en Californie, devant sa propriété de Neverland comme devant la maison qu’il louait sur les hauteurs d’Hollywood, à Los Angeles. Sur le Walk of Fame (la « promenade de la gloire ») d’Hollywood Boulevard, les visiteurs affluent autour de son étoile. Downtown, au musée Grammy, récompense que Michael Jackson avait reçue en 1984, d’autres s’extasient devant les vitrines où sont exposés certains des costumes du chanteur. « Avec sa mort, ce voyage en Californie, prévu de longue date, s’est transformé en pèlerinage », relate ce papa, venu en famille avec épouse et enfants depuis l’Iowa. A Cleveland, où est né le terme de rock’n’roll, le musée consacré aux célébrités du genre s’est adjoint un mémorial consacré à la carrière de la star.