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En effet, des chercheurs du King's College de Londres sont parvenus à valider la théorie et ce, en étudiant le développement des crêtes espacées sur le palais des bouches de souris. En conduisant leur expérience sur des embryons souris, l'équipe a identifié une paire de morphogènes qui ensemble influencent l'endroit où chaque arête va se former. Pour cela, chacun de ces morphogènes va agir sur l'expression de l'autre en l'activant ou en l'inhibant. C'est la première fois que des scientifiques parviennent à observer ce système et qu'ils montrent qu'il est impliqué dans l'apparition de certains motifs.
"Notre étude fournit la première identification expérimentale d'un système activateur-inhibiteur en fonctionnement dans le développement des rayures - dans le cas présent, dans les arêtes sur le palais des souris [...] Ces arêtes ne sont pas d'une grande signification médicale. Cependant, elles se sont avérées extrêmement précieuses ici pour valider la vieille théorie du premier modèle activateur-inhibiteur mis en évidence par Alan Turing", explique Dr Jeremy Green du Department of Craniofacial Development du King’s Dental Institute cité par le Daily Mail.